Depuis le 19 août 2024, une vague #MeToo déferle sur Mollywood, l’une des puissantes industries régionales du cinéma indien – en l’occurrence, du cinéma en langue malayalam, dans l’État du Kerala (pointe sud de l’Inde). Une série d’accusations d’agressions sexuelles ont fait surface, suite à la publication du rapport de la commission Hema, du nom de l’ancienne juge qui la présidait.
Ce document de plus de 200 pages sur les conditions de travail des femmes dans l’industrie cinématographique malayalam a été publié par le gouvernement communiste du Kerala (l’État étant le dernier bastion de la gauche dans la fédération indienne) et « dénonce un harcèlement sexuel endémique, des conditions de travail déplorables, des mécanismes de correction et des solutions proposées aux femmes inefficaces » qui travaillent dans ce secteur, indique Blanchisserie à journaux.
Pas de vestiaires ni de toilettes sur le plateau
« Bien qu’il ne révèle pas les noms des auteurs, le rapport est un document édifiant », juge le site d’information indien, connu pour ses critiques des médias. Un groupe d’hommes, surnommés les « mafia », Il contrôle l’ensemble de l’industrie, menaçant les femmes de mort si elles dénoncent leur injustice, ajoute-t-il.. « Le rapport
Depuis le 19 août 2024, une vague #MeToo déferle sur Mollywood, l’une des puissantes industries régionales du cinéma indien – en l’occurrence, du cinéma en langue malayalam, dans l’État du Kerala (pointe sud de l’Inde). Une série d’accusations d’agressions sexuelles ont fait surface, suite à la publication du rapport de la commission Hema, du nom de l’ancienne juge qui la présidait.
Ce document de plus de 200 pages sur les conditions de travail des femmes dans l’industrie cinématographique malayalam a été publié par le gouvernement communiste du Kerala (l’État étant le dernier bastion de la gauche dans la fédération indienne) et « dénonce un harcèlement sexuel endémique, des conditions de travail déplorables, des mécanismes de correction et des solutions proposées aux femmes inefficaces » qui travaillent dans ce secteur, indique Blanchisserie à journaux.
Pas de vestiaires ni de toilettes sur le plateau
« Bien qu’il ne révèle pas les noms des auteurs, le rapport est un document édifiant », juge le site d’information indien, connu pour ses critiques des médias. Un groupe d’hommes, surnommés les « mafia », Il contrôle l’ensemble de l’industrie, menaçant les femmes de mort si elles dénoncent leur injustice, ajoute-t-il.. « Le rapport