Les contrats à terme sur les fonds fédéraux rebondissent mais affichent actuellement une probabilité de 42 % d’une hausse le 14 juin, le reste étant inchangé. Cependant, il y a maintenant 22,3 points de base de hausse intégrés pour la réunion du 26 juillet, ce qui est presque une hausse entièrement intégrée.
Le dollar a également encouragé les indications sur le plafond de la dette, avec l’USD/JPY au plus haut de la séance, en hausse de 32 pips à 139,79.
Les rendements des bons du Trésor évoluent dans la même direction, avec des rendements américains à 2 ans en hausse de 14,8 points de base à 4,49 %.
Voici un poème GPT sur le plafond de la dette :
Au coeur de la nation où vole le étoilé, Un cycle persiste, sous le ciel bleu. Une danse aussi ancienne que le temps, avec une mélodie familière, Une histoire de peurs du marché qui se sentent particulières.
À travers les couloirs du pouvoir, un débat se fait entendre, sur des chiffres et des chiffres, sur chaque mot. Toutes les quelques années, lorsque le plafond est proche, Les marchés tremblent, succombant à la peur.
Alors que la dette approche du plafond rigide et fixé, La nation retient son souffle, se préparant à un accident. Marché baissier et haussier, ils se chamaillent et se battent, À l’ombre du crépuscule d’un défaut potentiel.
De Wall Street au Main, les peurs grandissent sauvagement, Au fur et à mesure que les mots de malheur circulent dans les médias. « Défaut », chuchotent-ils, avec une terreur effrayante, Mais les leçons de l’histoire ne sont souvent pas lues.
Car depuis ’60, le décompte s’élève à soixante-dix-huit, fois où la nation était dans un état similaire. A chaque fois, le plafond, il se levait une fois de plus, Et le loup était banni de la porte.
Au Congrès, ils se chamaillent, et l’horloge tourne, mais à la onzième heure, un accord est établi. Le plafond se lève, les peurs s’apaisent, Les États-Unis paient leur dû, sauvent la situation.
Le rythme cardiaque du marché se stabilise, soupire de soulagement, Alors que la nation échappe au chagrin défaillant. C’est une danse que nous avons dansée, encore et encore, Un chemin bien usé, connu des hommes du marché.
Alors que les peurs montent, avec le plafond en vue, Souvenez-vous du cycle, dans le doux clair de lune. Car bien qu’ils vacillent sur un rebord précaire, les États-Unis reculent toujours du bord.
Nos étoiles et nos rayures, elles agitent toujours fièrement, Face aux doutes, ont crié fort. C’est une danse, un cycle, une chanson récurrente, Le plafond peut craquer, mais la nation est forte.
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