L’Agence mondiale antidopage (AMA) a justifié, lundi, l’absence de sanctions contre 23 nageurs chinois, contrôlés positifs début 2021, révélés par une enquête du New York Times de la chaîne allemande ARD.
Publié
Temps de lecture : 1 min
L’Agence française antidopage (AFLD) a affirmé, mercredi 24 avril, avoir compris “le soi” déclenchée par la tempête qui a secoué l’Agence mondiale antidopage (AMA), accusée d’avoir dissimulé les contrôles positifs de 23 nageurs chinois en 2021, et réclamé une “débat” avec les autorités sportives.
Selon une enquête menée par la chaîne de télévision allemande ARD et le New York Times, diffusé samedi, 23 nageurs chinois ont été testés positifs début 2021 à la trimétazidine, une substance interdite depuis 2014 au motif qu’elle améliore la circulation sanguine. Ces tests n’ont donné lieu à aucune sanction ni publication.
« Aucune source n’a fourni de preuves crédibles d’actes répréhensibles »L’AMA s’est justifiée lundi tandis que le gouvernement chinois a rejeté les allégations “fallacieux”. Le lendemain, le patron de l’antidopage américain (USA), Travis Tygart, accusait l’AMA d’avoir étouffé cette affaire, survenue moins de 100 jours avant l’ouverture des Jeux de Paris (26 juillet-11 août). ). L’USADA a appelé à une refonte de l’AMA et à une enquête indépendante sur cette affaire.
L’AFLD, jusqu’ici silencieuse, dit partager « le souhait légitime d’être pleinement (éclairé) sur toutes les circonstances »dans un communiqué transmis à l’AFP. « La confiance du monde sportif et du public dans le système antidopage est essentielle »écrit l’AFLD, estimant que la situation “appelle désormais (…) un débat constructif au sein des instances qui réunissent le mouvement sportif, les pouvoirs publics ainsi que les représentants des sportifs et des organisations nationales antidopage.”
L’Agence mondiale antidopage (AMA) a justifié, lundi, l’absence de sanctions contre 23 nageurs chinois, contrôlés positifs début 2021, révélés par une enquête du New York Times de la chaîne allemande ARD.
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L’Agence française antidopage (AFLD) a affirmé, mercredi 24 avril, avoir compris “le soi” déclenchée par la tempête qui a secoué l’Agence mondiale antidopage (AMA), accusée d’avoir dissimulé les contrôles positifs de 23 nageurs chinois en 2021, et réclamé une “débat” avec les autorités sportives.
Selon une enquête menée par la chaîne de télévision allemande ARD et le New York Times, diffusé samedi, 23 nageurs chinois ont été testés positifs début 2021 à la trimétazidine, une substance interdite depuis 2014 au motif qu’elle améliore la circulation sanguine. Ces tests n’ont donné lieu à aucune sanction ni publication.
« Aucune source n’a fourni de preuves crédibles d’actes répréhensibles »L’AMA s’est justifiée lundi tandis que le gouvernement chinois a rejeté les allégations “fallacieux”. Le lendemain, le patron de l’antidopage américain (USA), Travis Tygart, accusait l’AMA d’avoir étouffé cette affaire, survenue moins de 100 jours avant l’ouverture des Jeux de Paris (26 juillet-11 août). ). L’USADA a appelé à une refonte de l’AMA et à une enquête indépendante sur cette affaire.
L’AFLD, jusqu’ici silencieuse, dit partager « le souhait légitime d’être pleinement (éclairé) sur toutes les circonstances »dans un communiqué transmis à l’AFP. « La confiance du monde sportif et du public dans le système antidopage est essentielle »écrit l’AFLD, estimant que la situation “appelle désormais (…) un débat constructif au sein des instances qui réunissent le mouvement sportif, les pouvoirs publics ainsi que les représentants des sportifs et des organisations nationales antidopage.”