Publié
Durée de la vidéo : 2 minutes
Paris 2024 : Laure Manaudou, première relayeuse française de la flamme olympique
Paris 2024 : Laure Manaudou, première relayeuse française de la flamme olympique
(franceinfo)
L’ancienne nageuse Laure Manaudou est devenue mardi 16 avril la première porteuse française de la flamme olympique, peu après la cérémonie d’allumage sur le site antique d’Olympie, en Grèce.
Torche à la main et sourire aux lèvres. A 11h30, mardi 16 avril, Laure Manaudou est devenue la première Française porteuse de la flamme de Paris 2024, en guise de symbole 20 ans après son titre olympique remporté à Athènes (Grèce). Avec le relais de 200 mètres, la 33e Olympiade a été lancée devant le temple d’Héra, en Grèce, comme le veut la tradition. Mais faute de soleil, cette fois, la grande prêtresse alluma le flambeau à l’aide d’une flamme allumée, conservée depuis la veille dans une lampe de secours.
Un spectacle « impressionnant »
Un plan B qui n’entame pas l’enthousiasme des Français venus assister à la cérémonie. “C’était impressionnant de découvrir ça dans la vraie vie et en dehors de la télé”, s’est réjoui un spectateur. Une heure de spectacle inspiré de la mythologie grecque, comme à chaque Olympiade. Mais même pour les habitués, comme Guy Druit, champion olympique des Jeux de 1976, « c’est un plaisir toujours renouvelé ». La flamme va désormais traverser la Grèce avant d’être embarquée le 27 avril à bord du Belem pour rejoindre la France. Il entrera dans le port de Marseille (Bouches-du-Rhône) le 8 mai.
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Paris 2024 : Laure Manaudou, première relayeuse française de la flamme olympique
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L’ancienne nageuse Laure Manaudou est devenue mardi 16 avril la première porteuse française de la flamme olympique, peu après la cérémonie d’allumage sur le site antique d’Olympie, en Grèce.
Torche à la main et sourire aux lèvres. A 11h30, mardi 16 avril, Laure Manaudou est devenue la première Française porteuse de la flamme de Paris 2024, en guise de symbole 20 ans après son titre olympique remporté à Athènes (Grèce). Avec le relais de 200 mètres, la 33e Olympiade a été lancée devant le temple d’Héra, en Grèce, comme le veut la tradition. Mais faute de soleil, cette fois, la grande prêtresse alluma le flambeau à l’aide d’une flamme allumée, conservée depuis la veille dans une lampe de secours.
Un spectacle « impressionnant »
Un plan B qui n’entame pas l’enthousiasme des Français venus assister à la cérémonie. “C’était impressionnant de découvrir ça dans la vraie vie et en dehors de la télé”, s’est réjoui un spectateur. Une heure de spectacle inspiré de la mythologie grecque, comme à chaque Olympiade. Mais même pour les habitués, comme Guy Druit, champion olympique des Jeux de 1976, « c’est un plaisir toujours renouvelé ». La flamme va désormais traverser la Grèce avant d’être embarquée le 27 avril à bord du Belem pour rejoindre la France. Il entrera dans le port de Marseille (Bouches-du-Rhône) le 8 mai.