« La marine brésilienne a réussi un exploit : réunir les troupes des États-Unis et de la Chine du même côté de la « bataille » »le quotidien dit ironiquement Le Globe à propos de l’édition 2024 de l’Opération Formosa.
« Ce n’est pas une préparation à une guerre imminente »le titre continue, mais d’un des principaux entraînements militaires des forces armées brésiliennes, qui se déroule depuis le 4 septembre et jusqu’au 17 septembre dans l’État de Goiás (centre-ouest) et pour lequel des soldats des deux nations rivales ont été invités.
Outre les militaires chinois et américains, des observateurs d’Afrique du Sud, d’Argentine, de France et d’Italie, ainsi que du Mexique, du Nigeria, du Pakistan et du Congo-Brazzaville participent également à l’exercice, qui se déroule dans un camp d’entraînement de près de 1.500 km², une superficie quinze fois plus grande que Paris.
Le programme comprend des ateliers d’échange d’expériences, « qui favorise une plus grande intégration entre le Brésil et les pays amis »
« La marine brésilienne a réussi un exploit : réunir les troupes des États-Unis et de la Chine du même côté de la « bataille » »le quotidien dit ironiquement Le Globe à propos de l’édition 2024 de l’Opération Formosa.
« Ce n’est pas une préparation à une guerre imminente »le titre continue, mais d’un des principaux entraînements militaires des forces armées brésiliennes, qui se déroule depuis le 4 septembre et jusqu’au 17 septembre dans l’État de Goiás (centre-ouest) et pour lequel des soldats des deux nations rivales ont été invités.
Outre les militaires chinois et américains, des observateurs d’Afrique du Sud, d’Argentine, de France et d’Italie, ainsi que du Mexique, du Nigeria, du Pakistan et du Congo-Brazzaville participent également à l’exercice, qui se déroule dans un camp d’entraînement de près de 1.500 km², une superficie quinze fois plus grande que Paris.
Le programme comprend des ateliers d’échange d’expériences, « qui favorise une plus grande intégration entre le Brésil et les pays amis »