« Les élections catalanes conditionnent encore la politique nationale » en Espagne, pays très décentralisé, et le scrutin du 12 mai ne fera pas exception à cette règle, selon le site de gauche InfoLibre.
Ce dimanche, les Catalans sont appelés aux urnes pour des élections anticipées visant à renouveler les 135 sièges de leur Parlement régional. Les résultats seront sans aucun doute significatifs “un tournant”, insiste InfoLibre, tant pour la Catalogne et ses quelque huit millions d’habitants que pour le gouvernement central de Madrid.
En effet, ils influenceront l’état de forme du gouvernement de gauche du Premier ministre espagnol, Pedro Sánchez, ce dernier bénéficiant, au niveau national, du soutien parlementaire des partis catalans ERC (gauche républicaine indépendantiste) et Junts (gauche républicaine indépendantiste). centre-droit), tous deux en compétition dans leur région.
Paradoxalement, alors que les indépendantistes catalans font la une des journaux outre-Pyrénées – à commencer par le plus célèbre et controversé d’entre eux, Carles Puigdemont -, « ce sont sans aucun doute les premières élections depuis une décennie où il n’est pas question d’indépendance », assure La Vanguardia.
« Les partis qui prônent la sécession de la Catalogne (Junts et ERC en tête) continuent d’avoir un poids déterminant dans la politique catalane, mais ils ont mis de côté les promesses
« Les élections catalanes conditionnent encore la politique nationale » en Espagne, pays très décentralisé, et le scrutin du 12 mai ne fera pas exception à cette règle, selon le site de gauche InfoLibre.
Ce dimanche, les Catalans sont appelés aux urnes pour des élections anticipées visant à renouveler les 135 sièges de leur Parlement régional. Les résultats seront sans aucun doute significatifs “un tournant”, insiste InfoLibre, tant pour la Catalogne et ses quelque huit millions d’habitants que pour le gouvernement central de Madrid.
En effet, ils influenceront l’état de forme du gouvernement de gauche du Premier ministre espagnol, Pedro Sánchez, ce dernier bénéficiant, au niveau national, du soutien parlementaire des partis catalans ERC (gauche républicaine indépendantiste) et Junts (gauche républicaine indépendantiste). centre-droit), tous deux en compétition dans leur région.
Paradoxalement, alors que les indépendantistes catalans font la une des journaux outre-Pyrénées – à commencer par le plus célèbre et controversé d’entre eux, Carles Puigdemont -, « ce sont sans aucun doute les premières élections depuis une décennie où il n’est pas question d’indépendance », assure La Vanguardia.
« Les partis qui prônent la sécession de la Catalogne (Junts et ERC en tête) continuent d’avoir un poids déterminant dans la politique catalane, mais ils ont mis de côté les promesses