L’ancien président populiste Mahmoud Ahmadinejad est candidat à l’élection présidentielle anticipée prévue fin juin en Iran, à la suite du décès inattendu du président Ebrahim Raïssi, le 19 mai. Connu pour ses propos négationnistes, il est devenu un homme politique à contre-courant du courant. République islamique.
« Ahmadinejad, qui a déposé sa candidature dimanche 2 juin, sait pertinemment qu’il sera disqualifié » par le Conseil des Gardiens de la Constitution, chargé de superviser les élections, estime le quotidien ultraconservateur Hamshahri, organe de la municipalité de Téhéran.
Président de 2005 à 2013, sa candidature avait déjà été invalidée à deux reprises, en 2017 puis en 2021. « La plupart des partisans d’Ahmadinejad croient à tort qu’il soutient toujours les principes fondamentaux de la République islamique. » déplore Hamshahri.
Un virage à 180 degrés
Le politicien
L’ancien président populiste Mahmoud Ahmadinejad est candidat à l’élection présidentielle anticipée prévue fin juin en Iran, à la suite du décès inattendu du président Ebrahim Raïssi, le 19 mai. Connu pour ses propos négationnistes, il est devenu un homme politique à contre-courant du courant. République islamique.
« Ahmadinejad, qui a déposé sa candidature dimanche 2 juin, sait pertinemment qu’il sera disqualifié » par le Conseil des Gardiens de la Constitution, chargé de superviser les élections, estime le quotidien ultraconservateur Hamshahri, organe de la municipalité de Téhéran.
Président de 2005 à 2013, sa candidature avait déjà été invalidée à deux reprises, en 2017 puis en 2021. « La plupart des partisans d’Ahmadinejad croient à tort qu’il soutient toujours les principes fondamentaux de la République islamique. » déplore Hamshahri.
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