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Durée de la vidéo : 1 min
En Guadeloupe, le couvre-feu pour les mineurs à Pointe-à-Pitre est entré en vigueur dans la nuit du lundi 22 avril au mardi 23 avril. La mesure, destinée à lutter contre la délinquance juvénile, est prévue pour un mois, renouvelable.
À Pointe-à-Pitre (Guadeloupe), un mineur a été l’une des premières personnes contrôlées par les forces de l’ordre dans la soirée du lundi 22 avril. L’enseignement était une priorité. De 20 heures à 5 heures du matin, un couvre-feu est en vigueur pour les mineurs dans les rues de Pointe-à-Pitre. La première soirée, lundi, a été calme pour les gendarmes et policiers. « La majorité des enfants sont à la maison avec leurs parents. Ce sont peut-être les parents qui n’ont plus de contrôle sur leurs adolescents presque adultes qui ont du mal à les garder à la maison. »estime Nicolas, général de brigade à la BAC de Pointe-à-Pitre.
Une cinquantaine de forces de l’ordre mobilisées dans la nuit
La mesure, décrété par Gérald Darmanin, est prévu pour un mois renouvelable, avec pour objectif de lutter contre la délinquance juvénile. « Aujourd’hui, 40 % de la délinquance juvénile est commise entre 20 heures et 22 heures, ce qui justifie effectivement un délai à partir de 20 heures », explique Xavier Lefort, préfet de Guadeloupe. Dans la nuit de lundi à mardi, une cinquantaine de forces de l’ordre étaient mobilisées dans les secteurs concernés.
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En Guadeloupe, le couvre-feu pour les mineurs à Pointe-à-Pitre est entré en vigueur dans la nuit du lundi 22 avril au mardi 23 avril. La mesure, destinée à lutter contre la délinquance juvénile, est prévue pour un mois, renouvelable.
À Pointe-à-Pitre (Guadeloupe), un mineur a été l’une des premières personnes contrôlées par les forces de l’ordre dans la soirée du lundi 22 avril. L’enseignement était une priorité. De 20 heures à 5 heures du matin, un couvre-feu est en vigueur pour les mineurs dans les rues de Pointe-à-Pitre. La première soirée, lundi, a été calme pour les gendarmes et policiers. « La majorité des enfants sont à la maison avec leurs parents. Ce sont peut-être les parents qui n’ont plus de contrôle sur leurs adolescents presque adultes qui ont du mal à les garder à la maison. »estime Nicolas, général de brigade à la BAC de Pointe-à-Pitre.
Une cinquantaine de forces de l’ordre mobilisées dans la nuit
La mesure, décrété par Gérald Darmanin, est prévu pour un mois renouvelable, avec pour objectif de lutter contre la délinquance juvénile. « Aujourd’hui, 40 % de la délinquance juvénile est commise entre 20 heures et 22 heures, ce qui justifie effectivement un délai à partir de 20 heures », explique Xavier Lefort, préfet de Guadeloupe. Dans la nuit de lundi à mardi, une cinquantaine de forces de l’ordre étaient mobilisées dans les secteurs concernés.