Vendredi 10 mai, les autorités ukrainiennes ont annoncé que les forces russes avaient lancé une nouvelle offensive terrestre visant l’oblast de Kharkiv, au nord-est du pays. “La Russie a lancé une nouvelle vague de contre-offensives dans cette direction”. a déclaré le président Volodymyr Zelensky, lors d’une conférence de presse à Kiev, aux côtés de son homologue slovaque, Zuzana Caputova.
Auparavant, le ministre ukrainien de la Défense avait fourni quelques détails sur la nature des actions russes. Celles-ci auraient commencé à l’aube, des véhicules blindés auraient tenté de « percer (les) lignes de défense » et des frappes aériennes auraient ciblé plusieurs localités, notamment Vovchansk, près de la région russe de Belgorod, et Cherkaski Tychky, au nord de Kharkiv.
“Moscou a récemment intensifié ses attaques contre Kharkiv, car des rapports suggèrent que la Russie pourrait envisager une attaque contre (la ville) dans le cadre d’une offensive plus large dans les mois à venir”, écrit le journal anglais Indépendant de Kyiv.
Selon les autorités ukrainiennes, ces premières actions militaires ont été reportées, mais le président a reconnu que les combats se poursuivaient dans la zone. Il a également déclaré que les civils devaient être évacués.
Au cœur de la spéculation
“(Cela) pourrait marquer le début d’une nouvelle opération majeure mettant en danger la deuxième plus grande ville du pays”, en écrivant Semaine d’actualités. Kharkiv constitue en effet un objectif stratégique majeur pour la Russie. Sa capture créerait une « zone tampon » et protégerait ainsi contre d’éventuelles attaques des forces ukrainiennes dans la région russe de Belgorod.
“Une éventuelle offensive russe près de Kharkiv fait l’objet de spéculations depuis des semaines”, écrit le journal allemand Zeitung d’Allemagne du Sud. « Selon certaines informations, l’armée russe y aurait rassemblé plusieurs dizaines de milliers d’hommes. Le fait que ce soit le ministère de la Défense à Kiev qui s’exprime sur cette question, et non l’état-major général, comme c’est généralement le cas, témoigne de la gravité de la situation.»
Depuis Londres, le quotidien Le gardien Considérons une autre hypothèse : “Les experts affirment que la Russie, qui déploie environ 500 000 soldats en Ukraine, est capable d’attaquer dans différents endroits, en profitant de son artillerie supérieure (…) et de sa faible défense aérienne. Les opérations dans la région de Kharkiv pourraient simplement avoir pour but de contraindre l’Ukraine à mobiliser ses réserves dans la région. Pour l’instant, l’essentiel de l’offensive russe semble concentré dans la région du Donbass et dans le sud-est de l’Ukraine.»
Selon les informations de Politique, les Etats-Unis annonceront également ce vendredi le déblocage de 400 millions de dollars d’aide à l’Ukraine sous la forme d’une cargaison d’armes américaines : missiles Patriot, missiles sol-air Stinger, combat Bradley, véhicules blindés MRAP et antichar Javelin. missiles.
Vendredi 10 mai, les autorités ukrainiennes ont annoncé que les forces russes avaient lancé une nouvelle offensive terrestre visant l’oblast de Kharkiv, au nord-est du pays. “La Russie a lancé une nouvelle vague de contre-offensives dans cette direction”. a déclaré le président Volodymyr Zelensky, lors d’une conférence de presse à Kiev, aux côtés de son homologue slovaque, Zuzana Caputova.
Auparavant, le ministre ukrainien de la Défense avait fourni quelques détails sur la nature des actions russes. Celles-ci auraient commencé à l’aube, des véhicules blindés auraient tenté de « percer (les) lignes de défense » et des frappes aériennes auraient ciblé plusieurs localités, notamment Vovchansk, près de la région russe de Belgorod, et Cherkaski Tychky, au nord de Kharkiv.
“Moscou a récemment intensifié ses attaques contre Kharkiv, car des rapports suggèrent que la Russie pourrait envisager une attaque contre (la ville) dans le cadre d’une offensive plus large dans les mois à venir”, écrit le journal anglais Indépendant de Kyiv.
Selon les autorités ukrainiennes, ces premières actions militaires ont été reportées, mais le président a reconnu que les combats se poursuivaient dans la zone. Il a également déclaré que les civils devaient être évacués.
Au cœur de la spéculation
“(Cela) pourrait marquer le début d’une nouvelle opération majeure mettant en danger la deuxième plus grande ville du pays”, en écrivant Semaine d’actualités. Kharkiv constitue en effet un objectif stratégique majeur pour la Russie. Sa capture créerait une « zone tampon » et protégerait ainsi contre d’éventuelles attaques des forces ukrainiennes dans la région russe de Belgorod.
“Une éventuelle offensive russe près de Kharkiv fait l’objet de spéculations depuis des semaines”, écrit le journal allemand Zeitung d’Allemagne du Sud. « Selon certaines informations, l’armée russe y aurait rassemblé plusieurs dizaines de milliers d’hommes. Le fait que ce soit le ministère de la Défense à Kiev qui s’exprime sur cette question, et non l’état-major général, comme c’est généralement le cas, témoigne de la gravité de la situation.»
Depuis Londres, le quotidien Le gardien Considérons une autre hypothèse : “Les experts affirment que la Russie, qui déploie environ 500 000 soldats en Ukraine, est capable d’attaquer dans différents endroits, en profitant de son artillerie supérieure (…) et de sa faible défense aérienne. Les opérations dans la région de Kharkiv pourraient simplement avoir pour but de contraindre l’Ukraine à mobiliser ses réserves dans la région. Pour l’instant, l’essentiel de l’offensive russe semble concentré dans la région du Donbass et dans le sud-est de l’Ukraine.»
Selon les informations de Politique, les Etats-Unis annonceront également ce vendredi le déblocage de 400 millions de dollars d’aide à l’Ukraine sous la forme d’une cargaison d’armes américaines : missiles Patriot, missiles sol-air Stinger, combat Bradley, véhicules blindés MRAP et antichar Javelin. missiles.