Le Premier ministre israélien s’est exprimé vendredi à l’ONU à New York. Un discours très attendu et scruté par les Libanais qui portent des jugements variés sur ce discours.
Publié
Temps de lecture : 1 min
De nouveaux attentats ont eu lieu dans la banlieue sud de Beyrouth, au Liban, fief du Hezbollah, dans la nuit de vendredi à samedi, tuant plusieurs commandants du mouvement, a annoncé l’armée israélienne, quelques heures après le discours de Benyamin Netanyahou devant l’assemblée de l’ONU à New York. . Un discours que tous les Libanais n’ont pas apprécié de la même manière.
Lorsque Benjamin Netanyahu est arrivé à la tribune de l’ONU, certains diplomates ont quitté la salle. Un boycott que de nombreux Libanais comprennent, à l’image de cet homme rencontré dans le quartier chrétien du nord de Beyrouth et qui souhaite garder l’anonymat.
“Presque personne n’a assisté à son discours, ce qui est déjà une bonne chose.”
Un résident de Beyrouthsur franceinfo
« S’il faisait la guerre au Hezbollah, il n’irait pas dans le nord du pays pour détruire des maisons. Là, il montre sa force, il a désormais les mains libres pour faire ce qu’il veut », continue cet homme.
Lors de son discours de 35 minutes, le Premier ministre israélien a réaffirmé sa détermination à combattre le Hezbollah. Ces propos ont été très appréciés par Marc, âgé d’une trentaine d’années.
“Il faut en finir avec le Hezbollah sinon nous ne pourrons pas vivre en paix. Nous en avons marre, ce sont eux qui ont choisi de faire la guerre et ils mettent tous les Libanais en danger.”
Marc, un Libanais de 30 anssur franceinfo
Tant que le Hezbollah choisit la voie de la guerre, Israël n’a d’autre choix que de poursuivre ses opérations, a insisté Benjamin Netanyahu. Un message diffusé quelques heures plus tard dans le sud de Beyrouth, visé par un tapis de bombes.
Le Premier ministre israélien s’est exprimé vendredi à l’ONU à New York. Un discours très attendu et scruté par les Libanais qui portent des jugements variés sur ce discours.
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De nouveaux attentats ont eu lieu dans la banlieue sud de Beyrouth, au Liban, fief du Hezbollah, dans la nuit de vendredi à samedi, tuant plusieurs commandants du mouvement, a annoncé l’armée israélienne, quelques heures après le discours de Benyamin Netanyahou devant l’assemblée de l’ONU à New York. . Un discours que tous les Libanais n’ont pas apprécié de la même manière.
Lorsque Benjamin Netanyahu est arrivé à la tribune de l’ONU, certains diplomates ont quitté la salle. Un boycott que de nombreux Libanais comprennent, à l’image de cet homme rencontré dans le quartier chrétien du nord de Beyrouth et qui souhaite garder l’anonymat.
“Presque personne n’a assisté à son discours, ce qui est déjà une bonne chose.”
Un résident de Beyrouthsur franceinfo
« S’il faisait la guerre au Hezbollah, il n’irait pas dans le nord du pays pour détruire des maisons. Là, il montre sa force, il a désormais les mains libres pour faire ce qu’il veut », continue cet homme.
Lors de son discours de 35 minutes, le Premier ministre israélien a réaffirmé sa détermination à combattre le Hezbollah. Ces propos ont été très appréciés par Marc, âgé d’une trentaine d’années.
“Il faut en finir avec le Hezbollah sinon nous ne pourrons pas vivre en paix. Nous en avons marre, ce sont eux qui ont choisi de faire la guerre et ils mettent tous les Libanais en danger.”
Marc, un Libanais de 30 anssur franceinfo
Tant que le Hezbollah choisit la voie de la guerre, Israël n’a d’autre choix que de poursuivre ses opérations, a insisté Benjamin Netanyahu. Un message diffusé quelques heures plus tard dans le sud de Beyrouth, visé par un tapis de bombes.