Au terme d’une folle rencontre, les Lyonnaises ont renversé le score face aux Parisiennes (3-2) en demi-finale aller de Ligue des Champions.
HAUTS
Katoto avait bien fait le travail
Elle est repartie un quart d’heure avant la fin avec le sentiment du travail bien accompli. Elle est finalement rentrée aux vestiaires avec un goût amer. Marie-Antoinette Katoto a été le symbole de l’efficacité parisienne jusqu’à sa libération. Sur sa deuxième vraie occasion, l’attaquante de l’équipe de France a mis les Parisiennes devant (0-1, 44e) d’un renard des surfaces. C’est dans cette même situation qu’elle double la mise grâce au bon travail de Chawinga. Jusqu’à sa sortie, remplacée par Lieke Martens (75e), elle a permis à son équipe d’être sereine et toujours dangereuse, en contre-attaque. Seul bémol, elle a raté le triplé (70e) qui aurait pu changer la donne.
Les Lyonnaises rugissaient, Sonia Bompastor aussi
En dix minutes, les Fenottes renversent la situation. Alors qu’ils ont été menés contre le cours du jeu, en première période, ils sont revenus amorphes. Les protégés de Sonia Bompastor se sont mis en danger à 0-2, mais ont fini par se faire entendre dans un Groupama Stadium bondé. L’entraîneur de l’OL n’a pas choisi de tout chambouler, mais d’y ajouter une touche différente. Après ses nombreux écarts en première période, Delphine Cascarino était fatiguée et Bompastor a eu le bon sens de la remplacer par Amel Majri (75e). La jeune maman est celle qui a su se montrer pour donner un avantage précieux (86e) dans les dernières minutes. Lyon sort finalement de cette confrontation sur une dérogation favorable.
Lire aussiLigue des Champions (F) : incroyables et époustouflantes des Lyonnaises face au Paris SG
flops
Paris prend feu, puis s’éteint
On a souligné la capacité des Lyonnaises à renverser la situation, mais comment ne pas évoquer le Paris Saint-Germain. Les filles du Prêcheur s’effondrent devant la fureur de Lyon. Alors qu’ils restèrent silencieux pendant plus de soixante minutes. Se sont-ils trouvés trop beaux à la fin de la rencontre ? Peut-être, mais ce qui est sûr, c’est cette générosité défensive qui a profité aux Lyonnaises. Sur le but de Diani, De Almeida était trop loin pour contrer l’attaquant lyonnais et sur le but de Majri, l’arrière-garde des Rouge et Bleu devait intervenir.
Vicky Becho, comme un fantôme
Les supporters des Fenottes doivent attendre le retour d’Ada Hegerberg, tel le Messie. Positionnée aux avant-postes, Becho n’a pas forcément été moins performante que sa coéquipière Kadidiatou Diani. Mais elle ne savait ni marquer ni se rebeller. Elle n’a pas su être dans le bon ton avant même le premier but des joueurs de la capitale (44e). Contrairement à Dumornay ou Cascarino. L’ailier lyonnais s’est montré très percutant, mais n’a pas été aidé par la présence fantomatique de Becho. Remplacée par Danielle Van de Donk (57e), qui ne s’est pas plus mise en évidence que Becho malgré la folie des dernières minutes.
Au terme d’une folle rencontre, les Lyonnaises ont renversé le score face aux Parisiennes (3-2) en demi-finale aller de Ligue des Champions.
HAUTS
Katoto avait bien fait le travail
Elle est repartie un quart d’heure avant la fin avec le sentiment du travail bien accompli. Elle est finalement rentrée aux vestiaires avec un goût amer. Marie-Antoinette Katoto a été le symbole de l’efficacité parisienne jusqu’à sa libération. Sur sa deuxième vraie occasion, l’attaquante de l’équipe de France a mis les Parisiennes devant (0-1, 44e) d’un renard des surfaces. C’est dans cette même situation qu’elle double la mise grâce au bon travail de Chawinga. Jusqu’à sa sortie, remplacée par Lieke Martens (75e), elle a permis à son équipe d’être sereine et toujours dangereuse, en contre-attaque. Seul bémol, elle a raté le triplé (70e) qui aurait pu changer la donne.
Les Lyonnaises rugissaient, Sonia Bompastor aussi
En dix minutes, les Fenottes renversent la situation. Alors qu’ils ont été menés contre le cours du jeu, en première période, ils sont revenus amorphes. Les protégés de Sonia Bompastor se sont mis en danger à 0-2, mais ont fini par se faire entendre dans un Groupama Stadium bondé. L’entraîneur de l’OL n’a pas choisi de tout chambouler, mais d’y ajouter une touche différente. Après ses nombreux écarts en première période, Delphine Cascarino était fatiguée et Bompastor a eu le bon sens de la remplacer par Amel Majri (75e). La jeune maman est celle qui a su se montrer pour donner un avantage précieux (86e) dans les dernières minutes. Lyon sort finalement de cette confrontation sur une dérogation favorable.
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flops
Paris prend feu, puis s’éteint
On a souligné la capacité des Lyonnaises à renverser la situation, mais comment ne pas évoquer le Paris Saint-Germain. Les filles du Prêcheur s’effondrent devant la fureur de Lyon. Alors qu’ils restèrent silencieux pendant plus de soixante minutes. Se sont-ils trouvés trop beaux à la fin de la rencontre ? Peut-être, mais ce qui est sûr, c’est cette générosité défensive qui a profité aux Lyonnaises. Sur le but de Diani, De Almeida était trop loin pour contrer l’attaquant lyonnais et sur le but de Majri, l’arrière-garde des Rouge et Bleu devait intervenir.
Vicky Becho, comme un fantôme
Les supporters des Fenottes doivent attendre le retour d’Ada Hegerberg, tel le Messie. Positionnée aux avant-postes, Becho n’a pas forcément été moins performante que sa coéquipière Kadidiatou Diani. Mais elle ne savait ni marquer ni se rebeller. Elle n’a pas su être dans le bon ton avant même le premier but des joueurs de la capitale (44e). Contrairement à Dumornay ou Cascarino. L’ailier lyonnais s’est montré très percutant, mais n’a pas été aidé par la présence fantomatique de Becho. Remplacée par Danielle Van de Donk (57e), qui ne s’est pas plus mise en évidence que Becho malgré la folie des dernières minutes.