La deuxième édition du Festival du Dessin célèbre l’art du dessin. Cela demande peu de matériel, mais beaucoup de talent. Une quarantaine d’artistes exposent leurs œuvres dans une dizaine de lieux à Arles jusqu’au 19 mai.
Publié
Temps de lecture : 1 min
Le dessin est un trait commun à l’humanité. De nos ancêtres préhistoriques à nos premiers gribouillis d’enfance, tout le monde l’a déjà essayé. A Arles, un festival rend hommage à cette pratique en exposant des dessins, sous toutes les formes, dans une dizaine d’expositions à admirer jusqu’au 19 mai. Cette année, c’est l’illustrateur Tomi Engerer qui est à l’honneur.
Le dessin, un art pauvre
Une vieille carte du monde posée sur la table, un fusain bien taillé et de l’inspiration à gogo. C’est ainsi qu’est née une série de portraits Perdu en moide l’artiste argentin Sergio Aquindo. Les coups de crayon se sont rapidement ajoutés aux lignes naturelles du globe. Les frontières géographiques se sont transformées en traits du visage, rides et cernes. “Quand on change de pays, il faut se réadapter. C’est ce qui se cache derrière ces dessins : nous perdons une vision de notre histoire antérieure, mais nous en gagnons une nouvelle », confie Sergio Aquindo.
En perpétuelle quête d’identité, il dit que le dessin l’a fait « trouver le chemin de la paix intérieure ».
C’est la première fois qu’un festival de cette envergure est consacré au dessin, mais il est en passe de devenir un rendez-vous incontournable. A découvrir jusqu’au 19 Mai, à Arles.
La deuxième édition du Festival du Dessin célèbre l’art du dessin. Cela demande peu de matériel, mais beaucoup de talent. Une quarantaine d’artistes exposent leurs œuvres dans une dizaine de lieux à Arles jusqu’au 19 mai.
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Le dessin est un trait commun à l’humanité. De nos ancêtres préhistoriques à nos premiers gribouillis d’enfance, tout le monde l’a déjà essayé. A Arles, un festival rend hommage à cette pratique en exposant des dessins, sous toutes les formes, dans une dizaine d’expositions à admirer jusqu’au 19 mai. Cette année, c’est l’illustrateur Tomi Engerer qui est à l’honneur.
Le dessin, un art pauvre
Une vieille carte du monde posée sur la table, un fusain bien taillé et de l’inspiration à gogo. C’est ainsi qu’est née une série de portraits Perdu en moide l’artiste argentin Sergio Aquindo. Les coups de crayon se sont rapidement ajoutés aux lignes naturelles du globe. Les frontières géographiques se sont transformées en traits du visage, rides et cernes. “Quand on change de pays, il faut se réadapter. C’est ce qui se cache derrière ces dessins : nous perdons une vision de notre histoire antérieure, mais nous en gagnons une nouvelle », confie Sergio Aquindo.
En perpétuelle quête d’identité, il dit que le dessin l’a fait « trouver le chemin de la paix intérieure ».
C’est la première fois qu’un festival de cette envergure est consacré au dessin, mais il est en passe de devenir un rendez-vous incontournable. A découvrir jusqu’au 19 Mai, à Arles.