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Mise à jour
Durée de la vidéo : 4 minutes
Le village de Rogliano, dans le Cap Corse, réputé pour ses bons produits et sa douceur, se bat également pour trouver des habitants. Mais comment s’y prennent-ils ?
Les montagnes et la mer bleue, tout au bout de l’île, dans le Cap Corse, se trouve le village de Rogliano qui a tous les atouts du paradis. Mais ce paradis est menacé, puisqu’il ne compte plus que 538 habitants, soit deux fois moins qu’au siècle dernier. Moins d’une dizaine de commerces sont ouverts toute l’année. Certains se lancent néanmoins dans l’aventure. Ceux qui ont repris la boulangerie sont des jeunes venus du continent. Sans eux, il n’y aurait plus de pain dans tout le Cap Corse.
“Sentimentalement, ce serait quelque chose de génial”
A côté, l’épicerie est tenue par une famille du village. Avec la boulangerie, c’est le seul commerce ouvert toute l’année, même s’il n’est pas rentable. “Tu sais, l’hiver n’est pas facile”, concède Pierre Dominic, épicier. Pour repeupler son village, le maire Patrice Quilici a monté un dossier pour obtenir des subventions pour rénover plusieurs maisons en ruine. Pour lui, “Sentimentalement, ce serait quelque chose de génial”.
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Le village de Rogliano, dans le Cap Corse, réputé pour ses bons produits et sa douceur, se bat également pour trouver des habitants. Mais comment s’y prennent-ils ?
Les montagnes et la mer bleue, tout au bout de l’île, dans le Cap Corse, se trouve le village de Rogliano qui a tous les atouts du paradis. Mais ce paradis est menacé, puisqu’il ne compte plus que 538 habitants, soit deux fois moins qu’au siècle dernier. Moins d’une dizaine de commerces sont ouverts toute l’année. Certains se lancent néanmoins dans l’aventure. Ceux qui ont repris la boulangerie sont des jeunes venus du continent. Sans eux, il n’y aurait plus de pain dans tout le Cap Corse.
“Sentimentalement, ce serait quelque chose de génial”
A côté, l’épicerie est tenue par une famille du village. Avec la boulangerie, c’est le seul commerce ouvert toute l’année, même s’il n’est pas rentable. “Tu sais, l’hiver n’est pas facile”, concède Pierre Dominic, épicier. Pour repeupler son village, le maire Patrice Quilici a monté un dossier pour obtenir des subventions pour rénover plusieurs maisons en ruine. Pour lui, “Sentimentalement, ce serait quelque chose de génial”.