« La toxicité du climat politique et un ensemble complexe de menaces… exercent une pression énorme sur les responsables de la sécurité nationale chargés de protéger la démocratie américaine. »analyse Politiqueau lendemain de la deuxième tentative d’assassinat présumée contre Donald Trump.
24 heures après que plusieurs agents des services secrets « a ouvert le feu sur un homme armé » En Floride, à proximité du terrain de golf où se trouvait dimanche l’ancien président, l’institution chargée de protéger les hautes personnalités politiques américaines se retrouve une nouvelle fois au centre des interrogations et des critiques.
Lundi, « Le shérif du comté de Palm Beach, Ric Bradshaw, a reconnu que la zone » où se trouvait le candidat républicain« Le dossier n’avait pas été fermé parce que M. Trump ne bénéficiait pas du même niveau de protection que lorsqu’il était président. »rapporte le Washington Post dans un éditorial.
«Cela doit changer. « À cinquante jours d’une élection serrée, après ce qui constitue désormais deux tentatives d’assassinat, (…) protéger M. Trump pendant sa campagne est essentiel (…) pour assurer la stabilité politique et la continuité du gouvernement », souligne le quotidien américain qui estime que le Congrès « Il faudrait veiller à ce que les services de sécurité américains disposent des ressources nécessaires pour le faire. »
Un « manque chronique de personnel »
Le président Joe Biden lui-même a appelé lundi les élus de Washington à fournir davantage de ressources aux services secrets, selon des informations USA Today. « Dieu merci, le président va bien »a déclaré le démocrate aux journalistes alors qu’il quittait la Maison Blanche.Je tiens à préciser une chose : les services ont besoin d’aide. Je pense que le Congrès devrait répondre à leurs besoins.Biden a souligné qu’il y avait une pénurie de personnel.
LE « Le manque chronique de personnel, aggravé par des horaires de travail longs et parfois épuisants, a laissé le Service secret à la fois en sous-effectif et sous-financé dans des domaines tels que l’équipement et la technologie », souviens-toi de la Le New York Times.
« La toxicité du climat politique et un ensemble complexe de menaces… exercent une pression énorme sur les responsables de la sécurité nationale chargés de protéger la démocratie américaine. »analyse Politiqueau lendemain de la deuxième tentative d’assassinat présumée contre Donald Trump.
24 heures après que plusieurs agents des services secrets « a ouvert le feu sur un homme armé » En Floride, à proximité du terrain de golf où se trouvait dimanche l’ancien président, l’institution chargée de protéger les hautes personnalités politiques américaines se retrouve une nouvelle fois au centre des interrogations et des critiques.
Lundi, « Le shérif du comté de Palm Beach, Ric Bradshaw, a reconnu que la zone » où se trouvait le candidat républicain« Le dossier n’avait pas été fermé parce que M. Trump ne bénéficiait pas du même niveau de protection que lorsqu’il était président. »rapporte le Washington Post dans un éditorial.
«Cela doit changer. « À cinquante jours d’une élection serrée, après ce qui constitue désormais deux tentatives d’assassinat, (…) protéger M. Trump pendant sa campagne est essentiel (…) pour assurer la stabilité politique et la continuité du gouvernement », souligne le quotidien américain qui estime que le Congrès « Il faudrait veiller à ce que les services de sécurité américains disposent des ressources nécessaires pour le faire. »
Un « manque chronique de personnel »
Le président Joe Biden lui-même a appelé lundi les élus de Washington à fournir davantage de ressources aux services secrets, selon des informations USA Today. « Dieu merci, le président va bien »a déclaré le démocrate aux journalistes alors qu’il quittait la Maison Blanche.Je tiens à préciser une chose : les services ont besoin d’aide. Je pense que le Congrès devrait répondre à leurs besoins.Biden a souligné qu’il y avait une pénurie de personnel.
LE « Le manque chronique de personnel, aggravé par des horaires de travail longs et parfois épuisants, a laissé le Service secret à la fois en sous-effectif et sous-financé dans des domaines tels que l’équipement et la technologie », souviens-toi de la Le New York Times.