Publié
Mise à jour
Durée de la vidéo : 3 minutes
Entre promotion du parasport et entraînement pour les Jeux Paralympiques, Alexis Hanquinquant a partagé son quotidien au Stade 2, quelques mois avant la messe d’été.
Champion paralympique à Tokyo, six fois champion du monde, six fois champion d’Europe et six fois champion de France. A 38 ans, le palmarès d’Alexis Hanquinquant parle de lui-même. Pour le paratriathlète, qui règne sur sa discipline, il n’y a actuellement que deux choses dans la vie : la promotion du parasport auprès du grand public et la quête d’un deuxième titre paralympique fin août, à Paris. Deux défis qu’il doit concilier malgré un emploi du temps chargé, mais qui ne lui font pas peur.
De la piscine Molitor, entre séances photos et entraînements, jusqu’aux plateaux télé, Alexis Hanquinquant a à cœur de mener à bien son “affectation” pour promouvoir sa discipline. Victime d’une amputation trans-tibiale droite en 2013, le champion français sait qu’il doit profiter de la vitrine que seront les Jeux Paralympiques de Paris 2024 pour mener à bien sa mission, sans perdre ses objectifs sportifs vus jusqu’ici. .
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Entre promotion du parasport et entraînement pour les Jeux Paralympiques, Alexis Hanquinquant a partagé son quotidien au Stade 2, quelques mois avant la messe d’été.
Champion paralympique à Tokyo, six fois champion du monde, six fois champion d’Europe et six fois champion de France. A 38 ans, le palmarès d’Alexis Hanquinquant parle de lui-même. Pour le paratriathlète, qui règne sur sa discipline, il n’y a actuellement que deux choses dans la vie : la promotion du parasport auprès du grand public et la quête d’un deuxième titre paralympique fin août, à Paris. Deux défis qu’il doit concilier malgré un emploi du temps chargé, mais qui ne lui font pas peur.
De la piscine Molitor, entre séances photos et entraînements, jusqu’aux plateaux télé, Alexis Hanquinquant a à cœur de mener à bien son “affectation” pour promouvoir sa discipline. Victime d’une amputation trans-tibiale droite en 2013, le champion français sait qu’il doit profiter de la vitrine que seront les Jeux Paralympiques de Paris 2024 pour mener à bien sa mission, sans perdre ses objectifs sportifs vus jusqu’ici. .