Le Panama, qui vote dimanche 5 mai pour les élections générales – dont la présidentielle – apparaît parfois comme une oasis économique en Amérique centrale par rapport à ses voisins, avec une croissance économique de 6,1% en 2023 selon la Cepal, la Commission économique pour l’Amérique latine et la Caraïbes.
Pourtant, juste avant le scrutin, le centre de réflexion CNC (Centre National de Compétitivité) pointait ses failles, dans un rapport repris par le quotidien L’étoile du Panama : « Les défis sont de réduire les écarts entre les régions, d’améliorer la qualité de l’emploi, (…) de développer la recherche et l’innovation et d’attirer les investissements étrangers. »
Le pays n’a pas été épargné par les crises sous la présidence de Laurentino Cortizo, centre gauche, élu en 2019, qui ne peut se représenter, selon la Constitution : la pandémie de Covid-19, la fermeture programmée de la plus grande mine de cuivre d’Amérique centrale, la déficit du canal qui
Le Panama, qui vote dimanche 5 mai pour les élections générales – dont la présidentielle – apparaît parfois comme une oasis économique en Amérique centrale par rapport à ses voisins, avec une croissance économique de 6,1% en 2023 selon la Cepal, la Commission économique pour l’Amérique latine et la Caraïbes.
Pourtant, juste avant le scrutin, le centre de réflexion CNC (Centre National de Compétitivité) pointait ses failles, dans un rapport repris par le quotidien L’étoile du Panama : « Les défis sont de réduire les écarts entre les régions, d’améliorer la qualité de l’emploi, (…) de développer la recherche et l’innovation et d’attirer les investissements étrangers. »
Le pays n’a pas été épargné par les crises sous la présidence de Laurentino Cortizo, centre gauche, élu en 2019, qui ne peut se représenter, selon la Constitution : la pandémie de Covid-19, la fermeture programmée de la plus grande mine de cuivre d’Amérique centrale, la déficit du canal qui