Douze mois, trente jours, et puis c’est parti. Le journal de Londres Les temps j’ai fait le calcul, avec le résultat final : « Humza Yousaf marquera l’histoire par la rapidité de sa chute plutôt que par son action politique. » Menacé par deux motions de censure, le chef du Parti national écossais (SNP) a préféré prendre les devants, lundi 29 avril, en mettant fin à son court mandat de Premier ministre d’Écosse. “J’ai informé le bureau du SNP de mon intention de quitter la direction du parti, a-t-il annoncé depuis Bute House, le bureau officiel du premier ministre Écossais situé à Édimbourg. Afin d’assurer une passation sans heurts, je resterai Premier ministre jusqu’à ce qu’un successeur soit choisi.»
Selon la presse britannique, le leader indépendantiste avait de fortes chances de perdre les votes prévus cette semaine à l’initiative des conservateurs et des travaillistes. Pour cause, le chef de l’exécutif décentralisé, compétent dans plusieurs domaines comme la santé, l’éducation ou le logement, ne dispose que d’une majorité relative au Parlement d’Edimbourg.
Car bien qu’il domine la vie politique écossaise depuis 2007, le SNP n’a pas réussi à obtenir la majorité absolue lors des dernières élections législatives locales et mène donc la nation britannique de 5,5 millions d’habitants grâce au soutien des Verts, autre parti indépendantiste. Mais jeudi 25 avril, contre toute attente, Humza Yousaf a limogé deux ministres écologistes et a choisi de renoncer à la réduction de 75 % des émissions de CO2 d’ici 2030, une des clés de voûte.
Douze mois, trente jours, et puis c’est parti. Le journal de Londres Les temps j’ai fait le calcul, avec le résultat final : « Humza Yousaf marquera l’histoire par la rapidité de sa chute plutôt que par son action politique. » Menacé par deux motions de censure, le chef du Parti national écossais (SNP) a préféré prendre les devants, lundi 29 avril, en mettant fin à son court mandat de Premier ministre d’Écosse. “J’ai informé le bureau du SNP de mon intention de quitter la direction du parti, a-t-il annoncé depuis Bute House, le bureau officiel du premier ministre Écossais situé à Édimbourg. Afin d’assurer une passation sans heurts, je resterai Premier ministre jusqu’à ce qu’un successeur soit choisi.»
Selon la presse britannique, le leader indépendantiste avait de fortes chances de perdre les votes prévus cette semaine à l’initiative des conservateurs et des travaillistes. Pour cause, le chef de l’exécutif décentralisé, compétent dans plusieurs domaines comme la santé, l’éducation ou le logement, ne dispose que d’une majorité relative au Parlement d’Edimbourg.
Car bien qu’il domine la vie politique écossaise depuis 2007, le SNP n’a pas réussi à obtenir la majorité absolue lors des dernières élections législatives locales et mène donc la nation britannique de 5,5 millions d’habitants grâce au soutien des Verts, autre parti indépendantiste. Mais jeudi 25 avril, contre toute attente, Humza Yousaf a limogé deux ministres écologistes et a choisi de renoncer à la réduction de 75 % des émissions de CO2 d’ici 2030, une des clés de voûte.