Depuis son ouverture, lundi 2 septembre à Avignon, le procès de Dominique Pelicot – accusé d’avoir demandé à des dizaines d’hommes de violer sa femme, Gisèle, après qu’il l’ait droguée, et ce pendant une décennie – captive la presse du monde entier. Et relance les débats sur la nature de ces violences.
Le hashtag #NotAllMen refait surface avec force suite à la stratégie de défense des agresseurs présumés de Gisèle Pelicot, constate Noelia Ramírez dans un article d’opinion pour Le Pays. Pour le journaliste espagnol, cet argument est un « une façon d’éviter de parler des causes de la violence sexiste. » En se basant sur la liste impressionnante de féminicides et d’autres crimes commis contre les femmes, elle affirme « Je ne veux pas banaliser ces faits, mais plutôt mettre en lumière leurs mécanismes et chercher à faire comprendre comment on peut en arriver là. »
Violence structurelle
En Catalogne, Le journal considère que cette affaire peut se résumer comme suit : « Le monde est malade. Car ce n’est pas un cas isolé, pas du tout. » Ave
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Le hashtag #NotAllMen refait surface avec force suite à la stratégie de défense des agresseurs présumés de Gisèle Pelicot, constate Noelia Ramírez dans un article d’opinion pour Le Pays. Pour le journaliste espagnol, cet argument est un « une façon d’éviter de parler des causes de la violence sexiste. » En se basant sur la liste impressionnante de féminicides et d’autres crimes commis contre les femmes, elle affirme « Je ne veux pas banaliser ces faits, mais plutôt mettre en lumière leurs mécanismes et chercher à faire comprendre comment on peut en arriver là. »
Violence structurelle
En Catalogne, Le journal considère que cette affaire peut se résumer comme suit : « Le monde est malade. Car ce n’est pas un cas isolé, pas du tout. » Ave
