Devant pendant près de 40 minutes, le club de la capitale a fini par s’effondrer complètement pour s’incliner lourdement face au Barça (22-30).
Diminué par plusieurs absences majeures, le Paris SG a concédé une lourde défaite contre le FC Barcelone (22-30) jeudi à domicile en quart de finale aller de Ligue des champions qui l’obligera à réaliser un exploit dans une semaine en Catalogne pour voir le dernier carré. Cinq jours après la gifle reçue en finale de Coupe de France contre Nantes (31-23), les Parisiens ont tendu l’autre joue et devront s’inspirer des footballeurs s’ils veulent voir le Final Four à Cologne comme l’an dernier.
Avec huit buts de retard, ils sont pourtant condamnés à une remontée bien plus improbable que celle de la bande Mbappé, la semaine dernière en quarts de finale de la Ligue des champions (4-1 après une défaite 3-2 à l’aller). ). Pour rivaliser avec le Barça, ce PSG était trop handicapé par les pépins physiques qui ont amené l’entraîneur Raul Gonzalez à faire jouer sur l’aile gauche les jeunes Wallem Peleka, Leo Plantin et Adama Keita en l’absence de David Balaguer (mollet) et Mathieu Grébille (cheville) , présent sur la feuille de match mais non entré en jeu.
Elohim Prandi, touché au genou gauche samedi contre Nantes, est rentré aux vestiaires après seulement quelques minutes et n’a pas réapparu. Les Parisiens ont tenu bon sur ces patchs lors de la première période, atteinte avec trois unités d’avance (14-11), portés par la réussite insolente d’Andreas Palicka, qui avait un ratio d’arrêts de 50% au bout d’un quart d’heure. (5/10). Et à peine moins à la pause (8/18 doit 44%, dont deux penaltys). En attaque, Kent Robin Tonnesen, seul latéral droit professionnel confirmé, a assuré (4/4 à la mi-temps) et, après un premier quart-temps difficile, le pivot Kamil Syprzak avait quelques munitions dans le dos de la défense catalane.
Mais la maison parisienne s’est effondrée en seconde période, avec ses jeunes envoyés au feu (Yoann Gibelin et Sadou Ntanzi en plus de Keita et Peleka) multipliant les approximations et les tirs forcés sur lesquels le gardien espagnol Gonzalo Perez de Vargas (10/20) , entré au quart d’heure de jeu à la place d’Emil Nielsen, n’a eu aucun mal à briller. Nikola Karabatic n’a pratiquement pas joué en seconde période et la défense parisienne, où Luka Karabatic était handicapé par deux exclusions provisoires prises à la 17e minute, a pris l’eau sous les attaques des arrières français du Barça Melvyn Richardson (6/10) et Dika Mem (7). /10) et dans le jeu à sept contre six, laissant la cage vide, ce que Raul Gonzalez a tenté sans succès. Après avoir encaissé un 8-1 en début de deuxième période (16-19, 44e), le PSG a bu le calice jusqu’à la lie, malgré un moment fort qui l’a ramené à trois longueurs (22-25) à l’entame du dernier quinté. minutes.
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