L’automne est souvent propice aux premières polémiques, et autres bouleversements auxquels le Paris Saint-Germain est particulièrement habitué. Invaincus depuis le début de la saison, les Parisiens se déplaçaient mardi à Londres, privés d’Ousmane Dembélé, licencié par son entraîneur Luis Enrique pour des raisons annoncées comme disciplinaires.
Un choix qui a forcément déstabilisé l’équilibre sportif d’un groupe qui apparaissait fragile à l’Emirates Stadium, asphyxié par le jeu de placement proposé par leurs adversaires du soir (2-0). Pour son deuxième match de Ligue des Champions cette saison, le club de la capitale chute, sans inspiration, plombé par des erreurs défensives et un manque de dynamisme offensif.
Pour la suite de la phase de groupes, les troupes de Luis Enrique accueilleront le PSV Eindhoven le 22 octobre, puis l’Atlético Madrid le 6 novembre.
Ce qu’il faut retenir
Figure phare d’un Arsenal bâti autour de son talent, le « baby-Gunner » brillait par sa justesse et sa capacité à diriger le jeu. Son but – involontaire – a marqué la réussite de son équipe, et a magnifié sa performance.
1-0, 20e : Kai Havertz est servi par Leandro Trossard au point de penalty, d’un centre en cloche qu’il frappe du haut de la tête. Il trompe l’attention des défenseurs, et les réflexes de Gianluigi Donnarumma.
2-0, 35e : Bukayo Saka se charge du coup franc qu’il a provoqué. Son centre ne trouve personne, mais rentre dans la cage parisienne, car il a été évité par Bradley Barcola et Marquinhos…
- Le tournant du match. Gianluigi Donnarumma blessé en début de match.
Le gardien italien du Paris Saint-Germain a fait son retour dans les buts parisiens, contre Arsenal, après une blessure à la cuisse droite mi-septembre. En début de match, une sortie en force contre Gabriel Martinelli a visiblement déclenché à nouveau des douleurs, et a nécessité l’intervention des entraîneurs, sans qu’il ait à quitter le terrain.
Il ne fait aucun doute que les partisans de Artilleurs grandement apprécié leur performance. Si la première période a eu le mérite d’offrir sa paire de buts, la seconde a vu le club londonien protéger son succès, et les Parisiens tirent les rames pour revenir dans la partie. Sur notre échelle de notation sportive de A à E, cette confrontation obtient un solide « C ».
L’automne est souvent propice aux premières polémiques, et autres bouleversements auxquels le Paris Saint-Germain est particulièrement habitué. Invaincus depuis le début de la saison, les Parisiens se déplaçaient mardi à Londres, privés d’Ousmane Dembélé, licencié par son entraîneur Luis Enrique pour des raisons annoncées comme disciplinaires.
Un choix qui a forcément déstabilisé l’équilibre sportif d’un groupe qui apparaissait fragile à l’Emirates Stadium, asphyxié par le jeu de placement proposé par leurs adversaires du soir (2-0). Pour son deuxième match de Ligue des Champions cette saison, le club de la capitale chute, sans inspiration, plombé par des erreurs défensives et un manque de dynamisme offensif.
Pour la suite de la phase de groupes, les troupes de Luis Enrique accueilleront le PSV Eindhoven le 22 octobre, puis l’Atlético Madrid le 6 novembre.
Ce qu’il faut retenir
Figure phare d’un Arsenal bâti autour de son talent, le « baby-Gunner » brillait par sa justesse et sa capacité à diriger le jeu. Son but – involontaire – a marqué la réussite de son équipe, et a magnifié sa performance.
1-0, 20e : Kai Havertz est servi par Leandro Trossard au point de penalty, d’un centre en cloche qu’il frappe du haut de la tête. Il trompe l’attention des défenseurs, et les réflexes de Gianluigi Donnarumma.
2-0, 35e : Bukayo Saka se charge du coup franc qu’il a provoqué. Son centre ne trouve personne, mais rentre dans la cage parisienne, car il a été évité par Bradley Barcola et Marquinhos…
- Le tournant du match. Gianluigi Donnarumma blessé en début de match.
Le gardien italien du Paris Saint-Germain a fait son retour dans les buts parisiens, contre Arsenal, après une blessure à la cuisse droite mi-septembre. En début de match, une sortie en force contre Gabriel Martinelli a visiblement déclenché à nouveau des douleurs, et a nécessité l’intervention des entraîneurs, sans qu’il ait à quitter le terrain.
Il ne fait aucun doute que les partisans de Artilleurs grandement apprécié leur performance. Si la première période a eu le mérite d’offrir sa paire de buts, la seconde a vu le club londonien protéger son succès, et les Parisiens tirent les rames pour revenir dans la partie. Sur notre échelle de notation sportive de A à E, cette confrontation obtient un solide « C ».