Les supporters qui manquent au XV de France devraient retrouver le sourire dimanche 5 mai à 16 heures. De Cyril Baille à Thomas Ramos, en passant par Julien Marchand, François Cros ou Antoine Dupont, huit Les joueurs ayant porté le maillot bleu lors de la dernière Coupe du monde de rugby en septembre et octobre 2023 défendront le maillot rouge et noir du Stade toulousain face aux Harlequins anglais en demi-finale de Coupe des Champions.
L’ouvreur Romain Ntamack, de retour de blessure, et des stars étrangères, comme l’arrière écossais Blair Kinghorn ou le troisième-ligne anglais Jack Willis, auront également l’occasion de briller sur la pelouse du Stade toulousain. Une armada de stars qui ne sera pas de trop pour tenter de rejoindre le Leinster en finale de la « grande » Coupe d’Europe – qui ouvre ses portes aux franchises sud-africaines depuis deux ans.
Mais ce casting prestigieux surprend car, en France, les chiffres sont sujets à caution. plafond salarial (« plafond salarial »), soi-disant « assurer l’équilibre des forces et une inflation budgétaire modérée », rappelle le directeur général de la Ligue nationale de rugby (LNR), Emmanuel Eschalier. Pour la saison 2023-2024, ce plafond est fixé à 10,7 millions d’euros.
Une vitrine pour les joueurs
Pas facile pour le Stade toulousain de ne pas rompre avec ses rugbymen forts. «C’est un casse-tête quotidien»admet Monde Didier Lacroix, son président. Les salaires proposés sont issus d’une échelle tenant compte de l’âge, de la carrière internationale ou de la formation, ou non, au club. « Cela permet d’avoir de la cohérence et évite un tabou dans le vestiaire »insiste le gérant.
Et de fixer, aussi, un seuil parfois plus bas dans la Ville rose qu’ailleurs, reconnaît-il. « Il me semble que certains joueurs peuvent, ont pu, ont pu, accepter un salaire un peu plus élevé ailleurs ». A Toulouse, pèse dans la balance le poids de l’histoire – vingt-deux championnats remportés et cinq Coupes d’Europe, un record dans les deux cas – et l’assurance chaque saison d’avoir de bonnes chances d’augmenter encore celui-ci. palmarès.
Au-delà de l’armoire à trophées, le Stade toulousain offre également une vitrine unique aux joueurs pour se mettre en valeur, postuler en équipe de France… et décrocher des contrats publicitaires. Meilleur joueur du monde en 2021 et visage du championnat de France, le demi de mêlée Antoine Dupont n’est que le huitième joueur de rugby le mieux payé de la planète (815 000 euros par saison), selon le site Pays de Galles en ligne. Mais sa réputation lui a permis de négocier des partenariats lucratifs, notamment avec la marque de luxe LVMH, dont il est l’un des ambassadeurs.
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Les supporters qui manquent au XV de France devraient retrouver le sourire dimanche 5 mai à 16 heures. De Cyril Baille à Thomas Ramos, en passant par Julien Marchand, François Cros ou Antoine Dupont, huit Les joueurs ayant porté le maillot bleu lors de la dernière Coupe du monde de rugby en septembre et octobre 2023 défendront le maillot rouge et noir du Stade toulousain face aux Harlequins anglais en demi-finale de Coupe des Champions.
L’ouvreur Romain Ntamack, de retour de blessure, et des stars étrangères, comme l’arrière écossais Blair Kinghorn ou le troisième-ligne anglais Jack Willis, auront également l’occasion de briller sur la pelouse du Stade toulousain. Une armada de stars qui ne sera pas de trop pour tenter de rejoindre le Leinster en finale de la « grande » Coupe d’Europe – qui ouvre ses portes aux franchises sud-africaines depuis deux ans.
Mais ce casting prestigieux surprend car, en France, les chiffres sont sujets à caution. plafond salarial (« plafond salarial »), soi-disant « assurer l’équilibre des forces et une inflation budgétaire modérée », rappelle le directeur général de la Ligue nationale de rugby (LNR), Emmanuel Eschalier. Pour la saison 2023-2024, ce plafond est fixé à 10,7 millions d’euros.
Une vitrine pour les joueurs
Pas facile pour le Stade toulousain de ne pas rompre avec ses rugbymen forts. «C’est un casse-tête quotidien»admet Monde Didier Lacroix, son président. Les salaires proposés sont issus d’une échelle tenant compte de l’âge, de la carrière internationale ou de la formation, ou non, au club. « Cela permet d’avoir de la cohérence et évite un tabou dans le vestiaire »insiste le gérant.
Et de fixer, aussi, un seuil parfois plus bas dans la Ville rose qu’ailleurs, reconnaît-il. « Il me semble que certains joueurs peuvent, ont pu, ont pu, accepter un salaire un peu plus élevé ailleurs ». A Toulouse, pèse dans la balance le poids de l’histoire – vingt-deux championnats remportés et cinq Coupes d’Europe, un record dans les deux cas – et l’assurance chaque saison d’avoir de bonnes chances d’augmenter encore celui-ci. palmarès.
Au-delà de l’armoire à trophées, le Stade toulousain offre également une vitrine unique aux joueurs pour se mettre en valeur, postuler en équipe de France… et décrocher des contrats publicitaires. Meilleur joueur du monde en 2021 et visage du championnat de France, le demi de mêlée Antoine Dupont n’est que le huitième joueur de rugby le mieux payé de la planète (815 000 euros par saison), selon le site Pays de Galles en ligne. Mais sa réputation lui a permis de négocier des partenariats lucratifs, notamment avec la marque de luxe LVMH, dont il est l’un des ambassadeurs.
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