La division qui couvre notamment les plateformes Disney+ et Hulu était dans le vert au premier trimestre, malgré une légère baisse du nombre d’abonnés.
Le streaming est enfin rentable pour Disney. Les activités du géant du divertissement dans le domaine – Disney+ mais aussi Hulu aux Etats-Unis – ont été rentables pour la première fois au cours de ce trimestre, après plusieurs années de pertes et d’investissements colossaux depuis le lancement de Disney+ en novembre 2019. a annoncé le groupe ce mardi, 7 mai. Ils ont généré 47 millions de dollars de bénéfices au premier trimestre, contre 587 millions de dollars de pertes à la même période l’an dernier.
Avec 153,6 millions d’abonnés tous services confondus fin mars, l’empire du divertissement a toutefois fait moins bien que les 155,6 millions attendus. Mais hors actifs indiens, le portefeuille d’abonnés croît de 6%, soutenu par le dynamisme de l’Amérique du Nord (+17% sur un an). Le chiffre d’affaires de la branche streaming a augmenté de 13% sur un an.
Bénéfice net réduit
Malgré cette bonne nouvelle, Disney a vu son bénéfice fortement réduit au deuxième trimestre de son exercice décalé (janvier à mars) en raison de dépréciations, même si son chiffre d’affaires a augmenté. Le bénéfice net est tombé à seulement 216 millions de dollars, contre 1,5 milliard de dollars pour la même période l’an dernier.
Ce trou d’air est principalement dû à une dépréciation d’actifs, liée à la décision de Disney de fusionner sa filiale de télévision indienne avec son concurrent Viacom18, filiale du conglomérat indien Reliance. Le groupe californien ne contrôle désormais plus que 36,8% de la nouvelle entité. En février, Disney a annoncé que cette opération l’amènerait à supporter une charge exceptionnelle importante. Il atteint deux milliards de dollars, selon le communiqué.
Des parcs d’attractions en très bon état
Rapporté par action et hors éléments exceptionnels, l’indicateur de référence du marché, le bénéfice net s’est élevé à 1,21 dollar, au-dessus des attentes des analystes (1,12 dollar). Sur la base de ces résultats trimestriels, Disney table désormais sur une croissance de 25% de son bénéfice par action hors éléments exceptionnels, contre 20% jusqu’à présent. Au total, le chiffre d’affaires de l’entreprise s’élève à 22,1 milliards de dollars, soit 1% de mieux que la même période de 2023.
Autre moteur du groupe, les parcs d’attractions, croisières et produits associés, dont les revenus ont augmenté de 10%, tirés par les marchés internationaux (+29%). Disney évoque notamment une hausse des revenus à Hong Kong Disneyland avec une hausse de la fréquentation et des taux d’occupation des hôtels, portée par l’inauguration d’une nouvelle zone sur la franchise Frozen fin 2023.
La division qui couvre notamment les plateformes Disney+ et Hulu était dans le vert au premier trimestre, malgré une légère baisse du nombre d’abonnés.
Le streaming est enfin rentable pour Disney. Les activités du géant du divertissement dans le domaine – Disney+ mais aussi Hulu aux Etats-Unis – ont été rentables pour la première fois au cours de ce trimestre, après plusieurs années de pertes et d’investissements colossaux depuis le lancement de Disney+ en novembre 2019. a annoncé le groupe ce mardi, 7 mai. Ils ont généré 47 millions de dollars de bénéfices au premier trimestre, contre 587 millions de dollars de pertes à la même période l’an dernier.
Avec 153,6 millions d’abonnés tous services confondus fin mars, l’empire du divertissement a toutefois fait moins bien que les 155,6 millions attendus. Mais hors actifs indiens, le portefeuille d’abonnés croît de 6%, soutenu par le dynamisme de l’Amérique du Nord (+17% sur un an). Le chiffre d’affaires de la branche streaming a augmenté de 13% sur un an.
Bénéfice net réduit
Malgré cette bonne nouvelle, Disney a vu son bénéfice fortement réduit au deuxième trimestre de son exercice décalé (janvier à mars) en raison de dépréciations, même si son chiffre d’affaires a augmenté. Le bénéfice net est tombé à seulement 216 millions de dollars, contre 1,5 milliard de dollars pour la même période l’an dernier.
Ce trou d’air est principalement dû à une dépréciation d’actifs, liée à la décision de Disney de fusionner sa filiale de télévision indienne avec son concurrent Viacom18, filiale du conglomérat indien Reliance. Le groupe californien ne contrôle désormais plus que 36,8% de la nouvelle entité. En février, Disney a annoncé que cette opération l’amènerait à supporter une charge exceptionnelle importante. Il atteint deux milliards de dollars, selon le communiqué.
Des parcs d’attractions en très bon état
Rapporté par action et hors éléments exceptionnels, l’indicateur de référence du marché, le bénéfice net s’est élevé à 1,21 dollar, au-dessus des attentes des analystes (1,12 dollar). Sur la base de ces résultats trimestriels, Disney table désormais sur une croissance de 25% de son bénéfice par action hors éléments exceptionnels, contre 20% jusqu’à présent. Au total, le chiffre d’affaires de l’entreprise s’élève à 22,1 milliards de dollars, soit 1% de mieux que la même période de 2023.
Autre moteur du groupe, les parcs d’attractions, croisières et produits associés, dont les revenus ont augmenté de 10%, tirés par les marchés internationaux (+29%). Disney évoque notamment une hausse des revenus à Hong Kong Disneyland avec une hausse de la fréquentation et des taux d’occupation des hôtels, portée par l’inauguration d’une nouvelle zone sur la franchise Frozen fin 2023.