« L’Origine du monde » (1866) de Gustave Courbet a été peint à la bombe de peinture rouge lundi en début d’après-midi au Centre Pompidou-Metz (est de la France), auquel il a été prêté par le musée d’Orsay.
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Mise à jour
Temps de lecture : 1 min
Œuvre représentant un genre féminin, L’origine du monde (1866) de Gustave Courbet a été tagué à la peinture rouge ce lundi 6 mai en début d’après-midi, au Centre Pompidou-Metz, selon le musée. Le tableau était “protégé par du verre“, a précisé le service communication du musée, indiquant que la police était sur place pour procéder à des analyses. Le tableau était prêté par le musée d’Orsay.
Ce “action“, mené notamment par la performeuse franco-luxembourgeoise Deborah de Robertis, s’appelait On ne sépare pas la femme de l’artiste. Elle voulait s’inscrire dans un “mouvement mondial” de “jeunes femmes artistes de tous horizons“, a indiqué l’avocat d’une des parties impliquées dans l’action. “Ce qui était autrefois permis, maintenant les jeunes n’en veulent plus“, elle a continué. “Deborah de Robertis est une grande artiste qui nous questionne, nous interpelle, nous dérange“, selon l’avocat.
Artiste déjà condamné
Une performance de Deborah de Robertis, intitulée Miroir de l’Origine du monde est également exposé à proximité L’origine du monde dans le cadre de l’exposition du Centre Pompidou-Metz consacrée au psychanalyste Jacques Lacan. On voit l’artiste poser, nue, sous l’œuvre de Courbet, performance réalisée le 29 mai 2014 au musée d’Orsay.
Deborah de Robertis a été condamnée jeudi 2 mai par la justice française à 2.000 euros d’amende pour s’être montrée nue en 2018 lors d’une de ses performances devant la grotte du sanctuaire de Lourdes (sud-ouest). Elle a également été acquittée à plusieurs reprises après des agissements similaires, notamment en 2017 après avoir exhibé son sexe au musée du Louvre devant la Joconde à Paris.
« L’Origine du monde » (1866) de Gustave Courbet a été peint à la bombe de peinture rouge lundi en début d’après-midi au Centre Pompidou-Metz (est de la France), auquel il a été prêté par le musée d’Orsay.
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Œuvre représentant un genre féminin, L’origine du monde (1866) de Gustave Courbet a été tagué à la peinture rouge ce lundi 6 mai en début d’après-midi, au Centre Pompidou-Metz, selon le musée. Le tableau était “protégé par du verre“, a précisé le service communication du musée, indiquant que la police était sur place pour procéder à des analyses. Le tableau était prêté par le musée d’Orsay.
Ce “action“, mené notamment par la performeuse franco-luxembourgeoise Deborah de Robertis, s’appelait On ne sépare pas la femme de l’artiste. Elle voulait s’inscrire dans un “mouvement mondial” de “jeunes femmes artistes de tous horizons“, a indiqué l’avocat d’une des parties impliquées dans l’action. “Ce qui était autrefois permis, maintenant les jeunes n’en veulent plus“, elle a continué. “Deborah de Robertis est une grande artiste qui nous questionne, nous interpelle, nous dérange“, selon l’avocat.
Artiste déjà condamné
Une performance de Deborah de Robertis, intitulée Miroir de l’Origine du monde est également exposé à proximité L’origine du monde dans le cadre de l’exposition du Centre Pompidou-Metz consacrée au psychanalyste Jacques Lacan. On voit l’artiste poser, nue, sous l’œuvre de Courbet, performance réalisée le 29 mai 2014 au musée d’Orsay.
Deborah de Robertis a été condamnée jeudi 2 mai par la justice française à 2.000 euros d’amende pour s’être montrée nue en 2018 lors d’une de ses performances devant la grotte du sanctuaire de Lourdes (sud-ouest). Elle a également été acquittée à plusieurs reprises après des agissements similaires, notamment en 2017 après avoir exhibé son sexe au musée du Louvre devant la Joconde à Paris.