le temps des cerises est arrivé dans le Vaucluse

Dans les vergers du Vaucluse mûrit un trésor rouge carmin. Une cerise haut de gamme, devenue la fierté d’un territoire. Ce fruit éphémère à la chair ferme et juteuse se déguste frais ou cuit, en clafoutis par exemple. Fin mai, la pluie a obligé Lionel Chazelle, producteur bio, à accélérer les cueillettes pour éviter les pertes. L’arboriculteur est chargé de récolter les cerises de la variété folfer, un gros fruit croquant “avec un arôme très particulier”.

A Caromb, au pied du Mont Ventoux dans le Vaucluse, le vent et le froid de la montagne, alliés au soleil du sud, offrent aux cerises un climat idéal pour le chef Pascal Poulain. La cerise est un produit d’exception à mettre au menu. Dans sa cuisine, il s’apprête à revisiter la recette du clafoutis. Il faut d’abord rincer, dénoyauter et couper les cerises. Pour plus d’originalité, la pâte qui recouvre les fruits a été remplacée par du fromage frais et de la poudre d’amandes, pour un dessert léger mais délicieux.

Dans les vergers du Vaucluse mûrit un trésor rouge carmin. Une cerise haut de gamme, devenue la fierté d’un territoire. Ce fruit éphémère à la chair ferme et juteuse se déguste frais ou cuit, en clafoutis par exemple. Fin mai, la pluie a obligé Lionel Chazelle, producteur bio, à accélérer les cueillettes pour éviter les pertes. L’arboriculteur est chargé de récolter les cerises de la variété folfer, un gros fruit croquant “avec un arôme très particulier”.

A Caromb, au pied du Mont Ventoux dans le Vaucluse, le vent et le froid de la montagne, alliés au soleil du sud, offrent aux cerises un climat idéal pour le chef Pascal Poulain. La cerise est un produit d’exception à mettre au menu. Dans sa cuisine, il s’apprête à revisiter la recette du clafoutis. Il faut d’abord rincer, dénoyauter et couper les cerises. Pour plus d’originalité, la pâte qui recouvre les fruits a été remplacée par du fromage frais et de la poudre d’amandes, pour un dessert léger mais délicieux.