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Durée de la vidéo : 2 minutes
Dans la nuit du lundi 22 avril au mardi 23 avril, le froid et le gel ont inquiété les agriculteurs, qui ont eu recours à des mesures extrêmes avec l’installation de bougies antigel et de feux de fourrage. Une stratégie payante, notamment en Alsace.
Les vignerons alsaciens se sont levés très tôt mardi 23 avril. A 3 heures, leur dit la météoNT l’arrivée du gel. Aalors, ils s’empressent de mettre le feu aux bottes de paille. «Ils doivent brûler le plus longtemps possible», précise Stève Siegler, vigneron. C’est la technique la plus utilisée par ce métier : un écran de fumée au dessus des parcelles pour les protéger du gel. Pour que la technique fonctionne, il faut se coordonner avec tous les vignerons de la filière. Chacun d’eux gère une botte de paille, une pour deux hectares.
“Si ce n’est pas collectif, ça ne marche pas”
“Si ce n’est pas collectif, ça ne marche pas”, assure Stève Siegler. Avec – 1°C cette nuit, les feux de fourrage sont efficaces, mais donnent très peu de résultats quand il fait très froid. Les arboriculteurs comptent plutôt sur l’arrosage par aspersion. “C’est comme une douche (…) comme un igloo autour du fruit”explique Frédéric Barth, arboriculteur.
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Dans la nuit du lundi 22 avril au mardi 23 avril, le froid et le gel ont inquiété les agriculteurs, qui ont eu recours à des mesures extrêmes avec l’installation de bougies antigel et de feux de fourrage. Une stratégie payante, notamment en Alsace.
Les vignerons alsaciens se sont levés très tôt mardi 23 avril. A 3 heures, leur dit la météoNT l’arrivée du gel. Aalors, ils s’empressent de mettre le feu aux bottes de paille. «Ils doivent brûler le plus longtemps possible», précise Stève Siegler, vigneron. C’est la technique la plus utilisée par ce métier : un écran de fumée au dessus des parcelles pour les protéger du gel. Pour que la technique fonctionne, il faut se coordonner avec tous les vignerons de la filière. Chacun d’eux gère une botte de paille, une pour deux hectares.
“Si ce n’est pas collectif, ça ne marche pas”
“Si ce n’est pas collectif, ça ne marche pas”, assure Stève Siegler. Avec – 1°C cette nuit, les feux de fourrage sont efficaces, mais donnent très peu de résultats quand il fait très froid. Les arboriculteurs comptent plutôt sur l’arrosage par aspersion. “C’est comme une douche (…) comme un igloo autour du fruit”explique Frédéric Barth, arboriculteur.