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Durée de la vidéo : 2 minutes
De plus en plus de restaurants proposent un pourboire au terminal bancaire lors du paiement de la facture. Une pratique qui divise aussi bien les clients que les restaurateurs.
Lors du paiement de l’addition au restaurant « Brique Machine », le terminal bancaire propose d’ajouter un pourboire équivalent à 10 %, 15 % ou 20 % du montant de l’addition. Un message qui incite un client à donner 1,10 euro de plus, mais qui ne suffit pas à convaincre deux amis, qui n’ont pas donné plus d’argent. Cette pratique se répand dans les restaurants.
Un restaurateur veut que le geste reste spontané
Chez « Brique Machine », les pourboires ont triplé depuis l’installation du logiciel. Cela représente jusqu’à 400 euros de salaire net supplémentaire chaque mois pour les serveurs. Un argument pour recruter dans ce secteur sous pression, selon Léo da Cruz, directeur du restaurant. Dans un autre établissement, « Le Mestruet », il n’existe aucun logiciel pour inciter les clients à donner un pourboire. Et pourtant, ils sont encore très nombreux à le faire. Alain Fontaine, le gérant, souhaite que le geste reste spontané. En France, un tiers des clients déclarent donner un pourboire au serveur à la fin du repas.
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De plus en plus de restaurants proposent un pourboire au terminal bancaire lors du paiement de la facture. Une pratique qui divise aussi bien les clients que les restaurateurs.
Lors du paiement de l’addition au restaurant « Brique Machine », le terminal bancaire propose d’ajouter un pourboire équivalent à 10 %, 15 % ou 20 % du montant de l’addition. Un message qui incite un client à donner 1,10 euro de plus, mais qui ne suffit pas à convaincre deux amis, qui n’ont pas donné plus d’argent. Cette pratique se répand dans les restaurants.
Un restaurateur veut que le geste reste spontané
Chez « Brique Machine », les pourboires ont triplé depuis l’installation du logiciel. Cela représente jusqu’à 400 euros de salaire net supplémentaire chaque mois pour les serveurs. Un argument pour recruter dans ce secteur sous pression, selon Léo da Cruz, directeur du restaurant. Dans un autre établissement, « Le Mestruet », il n’existe aucun logiciel pour inciter les clients à donner un pourboire. Et pourtant, ils sont encore très nombreux à le faire. Alain Fontaine, le gérant, souhaite que le geste reste spontané. En France, un tiers des clients déclarent donner un pourboire au serveur à la fin du repas.