Les chefs de la diplomatie russe et ukrainien arrivent en Turquie avant les pourparlers — RT Russie et ex-Union soviétique

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Jeudi verra les négociations les plus médiatisées depuis le début du conflit militaire en Ukraine
Le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov et son homologue ukrainien Dmytro Kuleba auraient atterri en Turquie, où des responsables ont proposé de servir de médiateurs dans les pourparlers entre les deux hauts diplomates.
Le ministère des Affaires étrangères de Moscou a confirmé que Lavrov devait partir mercredi pour la station balnéaire turque d’Antalya, les médias locaux ayant rapporté plus tard que lui et Kuleba étaient arrivés pour les négociations de paix, prévues jeudi à l’hôtel Regnum Carya.
Un porte-parole du ministère ukrainien des Affaires étrangères, Oleg Nikolenko, confirmé L’arrivée de Kuleba à la station sur Twitter.
Le ministre turc des Affaires étrangères, Mevlut Cavusoglu, a d’abord annoncé la réunion prévue lundi, exprimant l’espoir qu’elle marquerait « un tournant et… un pas important vers la paix et la stabilité. » Il mentionné les pourparlers ont été négociés à la suite « efforts diplomatiques intensifs » par Ankara, et qu’il serait présent pour le dialogue.
FM russe #Lavrov sont également arrivés à Antalya et se sont rendus dans un hôtel où ils séjourneront. La réunion de la réunion trilatérale aura lieu à 11h (08GMT). Aucun presseur trilatéral n’est prévu. Mais Kuleba et Lavrov tiendront le presseur séparément après la rencontre. pic.twitter.com/eAfryz7WKO
— Hamza Bayrak (@bayrakhamza_) 9 mars 2022
Le président américain Joe Biden devrait également s’entretenir jeudi avec le turc Recep Tayyip Erdogan pour discuter de la situation en Ukraine, a confirmé la Maison Blanche.
La réunion d’Antalya suivra trois séries de pourparlers en Biélorussie – un proche allié de la Russie – qui ont produit des plans de couloir humanitaire limités dans plusieurs villes ukrainiennes, mais peu d’autres résultats. Depuis lors, le président ukrainien Volodymyr Zelensky a fait part de sa volonté de discuter des principales revendications russes, notamment la reconnaissance de la Crimée en tant que territoire russe et le statut des républiques séparatistes de Donetsk et Lougansk.
Moscou a attaqué Kiev fin février, après une impasse de sept ans sur l’incapacité de l’Ukraine à mettre en œuvre les termes des accords de paix de Minsk et la reconnaissance éventuelle par la Russie des républiques du Donbass à Donetsk et Lougansk. Les protocoles négociés par l’Allemagne et la France avaient été conçus pour régulariser le statut des régions à l’intérieur de l’État ukrainien.
La Russie revendique son soi-disant « opération militaire spéciale » a été lancée pour défendre les deux républiques séparatistes de la région du Donbass, bien que la mission se soit depuis étendue aux principales villes ukrainiennes. Kiev, quant à elle, a dénoncé l’offensive comme non provoquée, insistant sur le fait qu’elle n’avait pas l’intention de reprendre les zones séparatistes par la force.
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