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Durée de la vidéo : 2 minutes
Le mouvement de soutien au peuple palestinien, initié par Sciences Po Paris, s’étend dans de nombreuses villes françaises, dans différentes écoles et universités.
Jeudi 2 mai, des étudiants de l’université Paul-Valéry de Montpellier (Hérault) ont bloqué l’accès à leur campus en soutien à la Palestine. Ils dénoncent les partenariats de leur faculté avec des établissements israéliens et se défendent contre tout antisémitisme. “Nous ne sommes pas antisémites, nous sommes antisionistes. Nous sommes contre la colonisation, nous sommes contre le massacre et l’apartheid“expliquer un élève.
Un débat organisé à Sciences Po Paris
Les blocages se multiplient dans les universités françaises. A Lille (Nord), des étudiants bloquent également l’accès à l’école de journalisme. À Sciences Po Paris, où le mouvement est parti, la direction a organisé jeudi matin un débat entre étudiants, professeurs et salariés pour tenter de calmer le jeu. “Ce fut un débat difficile, avec des positions assez claires et beaucoup d’émotion. J’espère maintenant que tout le monde retrouvera le calme“, a déclaré Jean Bassères, directeur de l’école.
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Le mouvement de soutien au peuple palestinien, initié par Sciences Po Paris, s’étend dans de nombreuses villes françaises, dans différentes écoles et universités.
Jeudi 2 mai, des étudiants de l’université Paul-Valéry de Montpellier (Hérault) ont bloqué l’accès à leur campus en soutien à la Palestine. Ils dénoncent les partenariats de leur faculté avec des établissements israéliens et se défendent contre tout antisémitisme. “Nous ne sommes pas antisémites, nous sommes antisionistes. Nous sommes contre la colonisation, nous sommes contre le massacre et l’apartheid“expliquer un élève.
Un débat organisé à Sciences Po Paris
Les blocages se multiplient dans les universités françaises. A Lille (Nord), des étudiants bloquent également l’accès à l’école de journalisme. À Sciences Po Paris, où le mouvement est parti, la direction a organisé jeudi matin un débat entre étudiants, professeurs et salariés pour tenter de calmer le jeu. “Ce fut un débat difficile, avec des positions assez claires et beaucoup d’émotion. J’espère maintenant que tout le monde retrouvera le calme“, a déclaré Jean Bassères, directeur de l’école.