Les Etats membres de l’ONU ont approuvé jeudi le premier traité contre la cybercriminalité, qui devra être formellement adopté par l’Assemblée générale puis ratifié par chaque pays. Les défenseurs des droits de l’homme craignent que le texte ne soit utilisé par des pays qui criminalisent l’homosexualité ou ciblent les dissidents et les journalistes.