Selon Washington Post, il s’agit de « premier cas connu de pause dans les livraisons d’armes américaines à Israël depuis l’attaque du Hamas du 7 octobre (dans le sud de l’État juif) ». Mercredi 8 mai, le secrétaire à la Défense Lloyd Austin a déclaré lors d’une audition au Sénat que Washington avait « suspendu » la livraison d’une livraison d’armes la semaine dernière. La veille, un haut responsable américain avait confirmé cette information recueillie par le site Axios avec les dirigeants israéliens.
Dans ce cas, cette expédition comprenait 1 800 bombes de 2 000 livres (ou 907 kg) et 1 700 bombes de 500 livres (226 kg). Armes “controversé”selon le terme utilisé par le quotidien américain, dans un contexte «des inquiétudes croissantes» concernant le projet israélien de lancer une offensive majeure sur Rafah, au sud de la bande de Gaza. On estime qu’environ 1,5 million de Palestiniens sont réfugiés dans cette partie de l’enclave, à la frontière avec l’Égypte.
Mardi 7 mai, l’armée israélienne a déployé les premiers chars dans la ville de Rafah et pris le contrôle du terminal frontalier avec l’Egypte. Une opération « limitée » selon les médias israéliens et qui vise avant tout à faire pression sur les
Selon Washington Post, il s’agit de « premier cas connu de pause dans les livraisons d’armes américaines à Israël depuis l’attaque du Hamas du 7 octobre (dans le sud de l’État juif) ». Mercredi 8 mai, le secrétaire à la Défense Lloyd Austin a déclaré lors d’une audition au Sénat que Washington avait « suspendu » la livraison d’une livraison d’armes la semaine dernière. La veille, un haut responsable américain avait confirmé cette information recueillie par le site Axios avec les dirigeants israéliens.
Dans ce cas, cette expédition comprenait 1 800 bombes de 2 000 livres (ou 907 kg) et 1 700 bombes de 500 livres (226 kg). Armes “controversé”selon le terme utilisé par le quotidien américain, dans un contexte «des inquiétudes croissantes» concernant le projet israélien de lancer une offensive majeure sur Rafah, au sud de la bande de Gaza. On estime qu’environ 1,5 million de Palestiniens sont réfugiés dans cette partie de l’enclave, à la frontière avec l’Égypte.
Mardi 7 mai, l’armée israélienne a déployé les premiers chars dans la ville de Rafah et pris le contrôle du terminal frontalier avec l’Egypte. Une opération « limitée » selon les médias israéliens et qui vise avant tout à faire pression sur les