Avec 347 millions d’hectares, les forêts canadiennes représentent 9 % de la superficie forestière mondiale, ce qui en fait le troisième pays le plus boisé de la planète. Le Conseil canadien des ministres des forêts, qui présente ces chiffres, ajoute que « Les forêts et autres écosystèmes riches en carbone sont probablement la solution naturelle la plus connue pour lutter contre le changement climatique. »
Une enquête sur Reuters remet sérieusement en question cette solution. L’agence affirme que les opérations d’exploitation forestière présentées comme « durables » constituent des coupes à blanc dans ces forêts. En analysant les données forestières de la province de l’Ontario, Reuters a déclaré avoir constaté qu’environ 30 % des forêts boréales certifiées exploitées entre 2016 et 2020 avaient au moins 100 ans.
« Cela a entraîné la perte de 940 kilomètres carrés de ces forêts anciennes, soit une superficie de la taille de New York et de Washington DC réunies. »
L’expl
Avec 347 millions d’hectares, les forêts canadiennes représentent 9 % de la superficie forestière mondiale, ce qui en fait le troisième pays le plus boisé de la planète. Le Conseil canadien des ministres des forêts, qui présente ces chiffres, ajoute que « Les forêts et autres écosystèmes riches en carbone sont probablement la solution naturelle la plus connue pour lutter contre le changement climatique. »
Une enquête sur Reuters remet sérieusement en question cette solution. L’agence affirme que les opérations d’exploitation forestière présentées comme « durables » constituent des coupes à blanc dans ces forêts. En analysant les données forestières de la province de l’Ontario, Reuters a déclaré avoir constaté qu’environ 30 % des forêts boréales certifiées exploitées entre 2016 et 2020 avaient au moins 100 ans.
« Cela a entraîné la perte de 940 kilomètres carrés de ces forêts anciennes, soit une superficie de la taille de New York et de Washington DC réunies. »
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