Les Indiens Emberá occupaient depuis si longtemps le parc national au cœur de la ville de Bogotá qu’ils étaient presque devenus partie intégrante du paysage. Il y a onze mois, ils ont été à nouveau déplacés de leurs terres dans le nord-ouest de la Colombie à la suite d’un épisode de violence, comme ce fut déjà le cas en 2021.
Ils avaient à nouveau installé un immense camp de fortune dans l’un des endroits clés de la capitale colombienne. Aujourd’hui, il ne reste plus que « l’odeur du bois qui brûle » avec lesquels ils cuisinaient et se protégeaient du froid, rapporte le journal. Le spectateur.
Après de longues semaines de négociations, dimanche 8 septembre, 325 familles, soit 684 personnes, ont finalement accepté de retourner dans les villes de Risaralda et Chocó, d’où elles sont originaires, malgré le conflit en cours entre guérillas, paramilitaires, narcotrafiquants et armée colombienne. Près de 140 autres familles ont décidé de rester à Bogotá, dans des logements provisoires.
Des conditions de vie difficiles
« C’est un jour historique. Leur retour sera digne et garanti », a-t-il ajouté. a assuré Lilia Solano, directrice de l’Unité des victimes, une association qui soutient les victimes de violences, que
Les Indiens Emberá occupaient depuis si longtemps le parc national au cœur de la ville de Bogotá qu’ils étaient presque devenus partie intégrante du paysage. Il y a onze mois, ils ont été à nouveau déplacés de leurs terres dans le nord-ouest de la Colombie à la suite d’un épisode de violence, comme ce fut déjà le cas en 2021.
Ils avaient à nouveau installé un immense camp de fortune dans l’un des endroits clés de la capitale colombienne. Aujourd’hui, il ne reste plus que « l’odeur du bois qui brûle » avec lesquels ils cuisinaient et se protégeaient du froid, rapporte le journal. Le spectateur.
Après de longues semaines de négociations, dimanche 8 septembre, 325 familles, soit 684 personnes, ont finalement accepté de retourner dans les villes de Risaralda et Chocó, d’où elles sont originaires, malgré le conflit en cours entre guérillas, paramilitaires, narcotrafiquants et armée colombienne. Près de 140 autres familles ont décidé de rester à Bogotá, dans des logements provisoires.
Des conditions de vie difficiles
« C’est un jour historique. Leur retour sera digne et garanti », a-t-il ajouté. a assuré Lilia Solano, directrice de l’Unité des victimes, une association qui soutient les victimes de violences, que