Publié
Durée de la vidéo : 5 minutes
L’aventure continue à bord du Belem qui porte la flamme olympique. Vendredi 3 mai, revenez sur l’histoire du trois-mâts, lancé pour la première fois en 1896.
La dolce vita s’invite au coucher du soleil à bord du Belem, à mi-parcours. Passer par Stromboli, en Italie, suscite rêveries et curiosités. Le trois-mâts se trouve devant l’un des volcans les plus fréquemment enflammés d’Europe. Pour l’occasion, le capitaine et les cuisiniers ont organisé une surprise pour l’équipage : un buffet aux petits oignons. La flamme olympique est également de la fête, tout comme le volcan, qui a réservé une éruption à son visiteur de marque. “C’est super magnifique, je suis super content”un stagiaire est déplacé.
Navire marchand, yacht de luxe et ambassadeur de France
Le lendemain, retour aux cours sur le bateau plus que centenaire. Le marin stagiaire Steven Etcheverry suit une séance de mathématiques. Car pour prendre la bonne direction, rien ne vaut les techniques d’antan. De nombreux outils anciens sont encore présents sur le trois-mâts, construit en 1896, aujourd’hui classé “monument”.
Le Belem, lancé à Nantes (Loire-Atlantique) pour les premiers Jeux olympiques modernes, fut d’abord un navire marchand qui transportait du rhum et du sucre des Antilles et des fèves de cacao du Brésil. Il fut ensuite transformé en yacht de luxe par le duc de Westminster. Il le vend ensuite à Arthur Ernest Guinness, héritier du brasseur irlandais et grand voyageur.
En 1951, le bateau devient un navire-école pour les jeunes marins italiens, avant d’être abandonné dans le port de Venise (Italie), usé par le temps. C’est un médecin français, passionné de bateaux, qui l’a sauvé et rapatrié sous la Tour Eiffel (Paris), avec l’aide de la fondation qui porte son nom. Restauré, il devient ambassadeur de France.
Publié
Durée de la vidéo : 5 minutes
L’aventure continue à bord du Belem qui porte la flamme olympique. Vendredi 3 mai, revenez sur l’histoire du trois-mâts, lancé pour la première fois en 1896.
La dolce vita s’invite au coucher du soleil à bord du Belem, à mi-parcours. Passer par Stromboli, en Italie, suscite rêveries et curiosités. Le trois-mâts se trouve devant l’un des volcans les plus fréquemment enflammés d’Europe. Pour l’occasion, le capitaine et les cuisiniers ont organisé une surprise pour l’équipage : un buffet aux petits oignons. La flamme olympique est également de la fête, tout comme le volcan, qui a réservé une éruption à son visiteur de marque. “C’est super magnifique, je suis super content”un stagiaire est déplacé.
Navire marchand, yacht de luxe et ambassadeur de France
Le lendemain, retour aux cours sur le bateau plus que centenaire. Le marin stagiaire Steven Etcheverry suit une séance de mathématiques. Car pour prendre la bonne direction, rien ne vaut les techniques d’antan. De nombreux outils anciens sont encore présents sur le trois-mâts, construit en 1896, aujourd’hui classé “monument”.
Le Belem, lancé à Nantes (Loire-Atlantique) pour les premiers Jeux olympiques modernes, fut d’abord un navire marchand qui transportait du rhum et du sucre des Antilles et des fèves de cacao du Brésil. Il fut ensuite transformé en yacht de luxe par le duc de Westminster. Il le vend ensuite à Arthur Ernest Guinness, héritier du brasseur irlandais et grand voyageur.
En 1951, le bateau devient un navire-école pour les jeunes marins italiens, avant d’être abandonné dans le port de Venise (Italie), usé par le temps. C’est un médecin français, passionné de bateaux, qui l’a sauvé et rapatrié sous la Tour Eiffel (Paris), avec l’aide de la fondation qui porte son nom. Restauré, il devient ambassadeur de France.