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Durée de la vidéo : 2 minutes
De nouvelles mesures ont été prises par les agriculteurs contre les fruits et légumes importés de l’étranger, vendredi 26 avril. Cette fois, ce sont les tomates qui sont visées. Les importations du Maroc ont bondi de 40% en 5 ans.
Des producteurs de tomates du Lot-et-Garonne sont entrés par surprise dans un supermarché, vendredi 26 avril. Dans leur ligne de mire : des barquettes de tomates cerises du Maroc qui peuvent induire le consommateur en erreur. Tout est écrit en français et l’origine est indiquée en minuscules, notent les agriculteurs. « Aujourd’hui, on parle de souveraineté alimentaire française, mais on continue d’importer des produits marocains »dénonce l’un d’eux.
Un prix deux fois moins cher
Les producteurs ont donc apporté leurs propres étiquettes pour préciser clairement au consommateur qu’il s’agit de tomates marocaines. Les clients sont plutôt compréhensifs. Le Maroc représente aujourd’hui 65% des tomates. Le prix au kilo est moitié moins élevé, en raison d’une main-d’œuvre bon marché. La loi française impose que l’origine de tous les fruits et légumes soit indiquée avec des caractéristiques similaires à celles du prix.
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De nouvelles mesures ont été prises par les agriculteurs contre les fruits et légumes importés de l’étranger, vendredi 26 avril. Cette fois, ce sont les tomates qui sont visées. Les importations du Maroc ont bondi de 40% en 5 ans.
Des producteurs de tomates du Lot-et-Garonne sont entrés par surprise dans un supermarché, vendredi 26 avril. Dans leur ligne de mire : des barquettes de tomates cerises du Maroc qui peuvent induire le consommateur en erreur. Tout est écrit en français et l’origine est indiquée en minuscules, notent les agriculteurs. « Aujourd’hui, on parle de souveraineté alimentaire française, mais on continue d’importer des produits marocains »dénonce l’un d’eux.
Un prix deux fois moins cher
Les producteurs ont donc apporté leurs propres étiquettes pour préciser clairement au consommateur qu’il s’agit de tomates marocaines. Les clients sont plutôt compréhensifs. Le Maroc représente aujourd’hui 65% des tomates. Le prix au kilo est moitié moins élevé, en raison d’une main-d’œuvre bon marché. La loi française impose que l’origine de tous les fruits et légumes soit indiquée avec des caractéristiques similaires à celles du prix.