La gravité des faits reprochés aux huit mineures soupçonnées d’avoir commis un viol collectif, au domicile familial d’un lycéen de Bron, explique que malgré leur jeune âge, sept d’entre elles ont été placées en détention provisoire.
Le parquet de Lyon a indiqué Progrèsqui a révélé l’affaire, qu’une information judiciaire a été ouverte non seulement pour « viol collectif », mais aussi pour des accusations de « dégradations en réunion, vol aggravé, atteinte à la vie privée, violences en réunion suivies d’une incapacité totale de travail n’excédant pas huit heures ». jours.”
Objets volés
Ces mineurs, arrêtés début avril, sont soupçonnés d’avoir pénétré au domicile d’une adolescente en octobre dernier. Les habitants ont alors remarqué la présence d’individus extérieurs à l’immeuble, allant et venant dans un appartement.
Divers objets ayant été volés dans cette maison, les premières perquisitions ont porté sur des cambriolages. Mais la jeune fille a fini par confier avoir subi des abus et des violences sexuelles.