Le modèle appliqué rappelle l’Esta américain, le précieux sésame que tous les touristes qui voyagent outre-Atlantique doivent obtenir pour se rendre aux États-Unis. À partir de 2025, ont annoncé mardi 10 septembre les autorités britanniques « Les Européens et les Américains qui se rendent au Royaume-Uni devront demander une autorisation de voyage électronique, l’ETA (déjà en vigueur pour les ressortissants d’autres pays), qui sera obligatoire pour ceux qui arrivent dans le pays et n’ont pas besoin de visa », expliquer Le Times.
Pour l’obtenir, poursuit le média basé à Londres, « Les voyageurs devront télécharger une application, répondre à des questions sur la raison de leur visite, scanner leur passeport et fournir une photo. Seuls ceux qui auront obtenu l’ETA pourront embarquer sur un vol à destination du Royaume-Uni. »
Ce système deviendra obligatoire à partir du 2 avril pour tous les Européens, à l’exception des Irlandais. Un système qui a un prix, puisque les touristes devront débourser 10 livres pour obtenir ce pass, ce qui correspond à environ 12 euros. Maigre consolation, une fois cette somme payée et le document obtenu, l’ETA sera valable deux ans. Mais pourquoi instaurer un tel système ?
C’est d’ailleurs l’UE qui a été la première à adopter une mesure de ce type, puisqu’à partir du printemps 2025, les Britanniques souhaitant voyager au sein de l’UE devront demander un Etias (European Travel Information and Authorisation System).
Ce dispositif, détaillé en août Le Gardien, « exigera que les citoyens britanniques (et ceux d’autres pays exemptés de visa comme les États-Unis, l’Australie et le Canada) demandent le document avant d’entrer dans l’Union ». Plus généreux, les Européens accorderont leur sésame pour seulement 7 euros, et il aura aussi une durée de vie plus longue que l’ETA. En effet, « il sera valable trois ans », le média progressiste précisé en conclusion.
Le modèle appliqué rappelle l’Esta américain, le précieux sésame que tous les touristes qui voyagent outre-Atlantique doivent obtenir pour se rendre aux États-Unis. À partir de 2025, ont annoncé mardi 10 septembre les autorités britanniques « Les Européens et les Américains qui se rendent au Royaume-Uni devront demander une autorisation de voyage électronique, l’ETA (déjà en vigueur pour les ressortissants d’autres pays), qui sera obligatoire pour ceux qui arrivent dans le pays et n’ont pas besoin de visa », expliquer Le Times.
Pour l’obtenir, poursuit le média basé à Londres, « Les voyageurs devront télécharger une application, répondre à des questions sur la raison de leur visite, scanner leur passeport et fournir une photo. Seuls ceux qui auront obtenu l’ETA pourront embarquer sur un vol à destination du Royaume-Uni. »
Ce système deviendra obligatoire à partir du 2 avril pour tous les Européens, à l’exception des Irlandais. Un système qui a un prix, puisque les touristes devront débourser 10 livres pour obtenir ce pass, ce qui correspond à environ 12 euros. Maigre consolation, une fois cette somme payée et le document obtenu, l’ETA sera valable deux ans. Mais pourquoi instaurer un tel système ?
C’est d’ailleurs l’UE qui a été la première à adopter une mesure de ce type, puisqu’à partir du printemps 2025, les Britanniques souhaitant voyager au sein de l’UE devront demander un Etias (European Travel Information and Authorisation System).
Ce dispositif, détaillé en août Le Gardien, « exigera que les citoyens britanniques (et ceux d’autres pays exemptés de visa comme les États-Unis, l’Australie et le Canada) demandent le document avant d’entrer dans l’Union ». Plus généreux, les Européens accorderont leur sésame pour seulement 7 euros, et il aura aussi une durée de vie plus longue que l’ETA. En effet, « il sera valable trois ans », le média progressiste précisé en conclusion.