Publié
Durée de la vidéo : 2 minutes
Les cours n’ont pas repris à Sciences Po Paris vendredi 26 avril. L’établissement est bloqué par des étudiants pour manifester leur soutien à la Palestine. Ils exigent une condamnation des actions d’Israël par leur administration.
A Sciences Po Paris, les cours n’ont pas pu reprendre vendredi 26 avril au matin. L’école est une nouvelle fois inaccessible et occupée par plusieurs dizaines d’élèves en période d’examens. Certains révisent leurs cours sur le trottoir. Le comité Palestine, à l’origine de la mobilisation, appelle notamment la direction de l’école à condamner les agissements d’Israël. « Il est important de venir soutenir ce mouvement car nous pensons que Sciences Po ne doit pas céder à cette grande vague autoritaire, mais plutôt être à l’avant-garde d’une sorte de résistance », confie un élève.
Une durée indéterminée
Le blocus a commencé jeudi soir à 22 heures. Les portes ont été fermées et les barricades levées. Cette mobilisation intervient au lendemain d’un autre blocage sur un autre site scolaire, rapidement évacué par la police. L’administration n’a pas encore réagi à ce nouveau mouvement. Il est entretenu par les étudiants pour une durée encore indéterminée.
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Les cours n’ont pas repris à Sciences Po Paris vendredi 26 avril. L’établissement est bloqué par des étudiants pour manifester leur soutien à la Palestine. Ils exigent une condamnation des actions d’Israël par leur administration.
A Sciences Po Paris, les cours n’ont pas pu reprendre vendredi 26 avril au matin. L’école est une nouvelle fois inaccessible et occupée par plusieurs dizaines d’élèves en période d’examens. Certains révisent leurs cours sur le trottoir. Le comité Palestine, à l’origine de la mobilisation, appelle notamment la direction de l’école à condamner les agissements d’Israël. « Il est important de venir soutenir ce mouvement car nous pensons que Sciences Po ne doit pas céder à cette grande vague autoritaire, mais plutôt être à l’avant-garde d’une sorte de résistance », confie un élève.
Une durée indéterminée
Le blocus a commencé jeudi soir à 22 heures. Les portes ont été fermées et les barricades levées. Cette mobilisation intervient au lendemain d’un autre blocage sur un autre site scolaire, rapidement évacué par la police. L’administration n’a pas encore réagi à ce nouveau mouvement. Il est entretenu par les étudiants pour une durée encore indéterminée.