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Durée de la vidéo : 2 minutes
Attaque de l’Iran contre Israël : l’État juif est confronté à un « dilemme », selon un politologue
Attaque de l’Iran contre Israël : l’État juif est confronté à un « dilemme », selon un politologue
(franceinfo)
En réponse à l’attaque de missiles menée par l’Iran contre Israël dans la nuit du samedi 13 au dimanche 14 avril, Israël promet de « riposter ». Mais sa décision pourrait avoir de graves conséquences, pointe le politologue Khattar Abou Diab sur franceinfo.
Israël s’est engagé à faire payer à l’Iran le prix de son attaque sans précédent sur son territoire, malgré les appels internationaux à la retenue dans une région déjà ébranlée par la guerre dans la bande de Gaza. Selon Khattar Abou Diab, politologue, consultant géopolitique et spécialiste de l’Islam et du Moyen-Orient, « Israël ne voudrait pas perdre le soutien occidental dont il a bénéficié jusqu’à présent ». Parce que « Il y a un dilemme au sein de l’état-major israélien : attaquer Rafah pour mettre fin au Hamas à Gaza ou attaquer l’Iran »il explique.
« Une réponse calibrée »
Alliés historiques d’Israël, les États-Unis ont déjà déclaré qu’ils ne voulaient pas d’une guerre avec l’Iran et prévenu qu’ils ne participeraient pas à une opération de représailles contre Téhéran. « Tout cela est calculé avec beaucoup de difficulté dans l’armée israélienne. Nous nous dirigeons vers une réponse différée pour ne pas contrarier les Américains avec une réponse calibrée et limitée. »il ajouta.
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Attaque de l’Iran contre Israël : l’État juif est confronté à un « dilemme », selon un politologue
Attaque de l’Iran contre Israël : l’État juif est confronté à un « dilemme », selon un politologue
(franceinfo)
En réponse à l’attaque de missiles menée par l’Iran contre Israël dans la nuit du samedi 13 au dimanche 14 avril, Israël promet de « riposter ». Mais sa décision pourrait avoir de graves conséquences, pointe le politologue Khattar Abou Diab sur franceinfo.
Israël s’est engagé à faire payer à l’Iran le prix de son attaque sans précédent sur son territoire, malgré les appels internationaux à la retenue dans une région déjà ébranlée par la guerre dans la bande de Gaza. Selon Khattar Abou Diab, politologue, consultant géopolitique et spécialiste de l’Islam et du Moyen-Orient, « Israël ne voudrait pas perdre le soutien occidental dont il a bénéficié jusqu’à présent ». Parce que « Il y a un dilemme au sein de l’état-major israélien : attaquer Rafah pour mettre fin au Hamas à Gaza ou attaquer l’Iran »il explique.
« Une réponse calibrée »
Alliés historiques d’Israël, les États-Unis ont déjà déclaré qu’ils ne voulaient pas d’une guerre avec l’Iran et prévenu qu’ils ne participeraient pas à une opération de représailles contre Téhéran. « Tout cela est calculé avec beaucoup de difficulté dans l’armée israélienne. Nous nous dirigeons vers une réponse différée pour ne pas contrarier les Américains avec une réponse calibrée et limitée. »il ajouta.