Face aux difficultés financières du groupe français, Bercy veut éviter que ses projets stratégiques, notamment militaires, “passent entre les mains d’acteurs étrangers”.
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Un enjeu de souveraineté nationale ? Le ministre de l’Economie, Bruno Le Maire, a annoncé dimanche 28 avril avoir adressé une lettre d’intention au géant français de l’informatique Atos en vue d’acquérir “toutes les activités souveraines” du groupe en difficulté. Une telle opération empêcherait des activités cruciales pour la France de “passer entre les mains d’acteurs étrangers”a-t-il déclaré sur LCI.
“Quand on voit des menaces sur un groupe privé qui exerce des activités stratégiques, je prends mes responsabilités et je garantis que ces activités stratégiques restent françaises”a défendu le ministre, évoquant un « décision lourde ».
En pleine tourmente financière, Atos possède notamment des supercalculateurs utilisés pour la dissuasion nucléaire et des contrats avec l’armée française. L’ancien fleuron, qui est l’un des piliers technologiques des Jeux olympiques de Paris 2024, a perdu 80% de sa valeur boursière en un an après avoir vu coup sur coup deux opérations de vente s’effondrer. ses activités. Lourdement endetté, Atos a indiqué début avril rechercher 1,2 milliard d’euros d’argent frais. La société a fixé au 3 mai la date limite pour que ses créanciers fassent des propositions de refinancement.
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