L’État français va racheter une partie des activités du groupe Atos, en grave difficulté financière, par l’intermédiaire de l’Agence des participations de l’État. Le ministre de l’Économie veut ainsi éviter que les actifs stratégiques de l’ancien fleuron de la French Tech ne passent entre des mains étrangères. Le groupe informatique, qui a accueilli “avec satisfaction” l’intérêt de l’Etat pour ses activités régaliennes, a précisé lundi avoir désormais besoin de 1,1 milliard d’euros de liquidités pour financer son activité en 2024-2025.