« Certains d’entre nous espéraient qu’il resterait », écrit le site d’information avec résignation Courir, courir à propos du départ en exil en Espagne, dimanche 8 septembre, du candidat de l’opposition vénézuélienne à l’élection présidentielle, Edmundo González Urrutia, contraint de fuir la répression mise en place contre quiconque conteste la victoire autoproclamée de Nicolás Maduro à l’élection présidentielle du 28 juillet.
C’est un sentiment partagé par une bonne partie de la presse indépendante du pays sud-américain, qui reconnaît néanmoins la “courage” Qu’avait cet homme de 75 ans ?« accepter la candidature en sachant que cela aurait de graves conséquences pour lui et sa famille. » Diplomate de carrière, Edmundo González Urrutia ne s’était jamais impliqué en politique avant de remplacer au dernier moment María Corina Machado, leader de l’opposition, mais déclarée inéligible par le régime chaviste.
« Se battre pour le retour de la démocratie »
Le choix de demander l’asile politique en Espagne est avant tout une « défaite politique de l’opposition (…). Peut-être la plus
« Certains d’entre nous espéraient qu’il resterait », écrit le site d’information avec résignation Courir, courir à propos du départ en exil en Espagne, dimanche 8 septembre, du candidat de l’opposition vénézuélienne à l’élection présidentielle, Edmundo González Urrutia, contraint de fuir la répression mise en place contre quiconque conteste la victoire autoproclamée de Nicolás Maduro à l’élection présidentielle du 28 juillet.
C’est un sentiment partagé par une bonne partie de la presse indépendante du pays sud-américain, qui reconnaît néanmoins la “courage” Qu’avait cet homme de 75 ans ?« accepter la candidature en sachant que cela aurait de graves conséquences pour lui et sa famille. » Diplomate de carrière, Edmundo González Urrutia ne s’était jamais impliqué en politique avant de remplacer au dernier moment María Corina Machado, leader de l’opposition, mais déclarée inéligible par le régime chaviste.
« Se battre pour le retour de la démocratie »
Le choix de demander l’asile politique en Espagne est avant tout une « défaite politique de l’opposition (…). Peut-être la plus