A la barre, l’accusé de 61 ans a expliqué lundi qu’il n’avait voulu “menacer personne”, mais avait voulu “se venger” des autorités iraniennes, “terroristes” à ses yeux.
Publié
Temps de lecture : 1 min
Un homme d’origine iranienne entré vendredi dans le consulat iranien à Paris avec de fausses grenades pour “vengeance” du gouvernement de Téhéran a été condamné lundi 22 avril à 10 mois de prison avec sursis. Le prévenu, âgé de 61 ans et résidant en France depuis de nombreuses années, a également été condamné par le tribunal correctionnel à une obligation de soins, à une interdiction de port d’arme et à une interdiction de se présenter au consulat, ainsi que dans le 16e arrondissement. de Paris où se sont déroulés les événements.
A la barre, il a expliqué qu’il n’avait pas voulu “menacer qui que ce soit”mais j’avais souhaité “Se venger” Les autorités iraniennes, “les terroristes” à ses yeux. Le prévenu, qui parle un français correct mais souffre de problèmes d’audition, comparait pour “menaces de mort” et “violences préméditées”. Pour le représentant du parquet, les faits poursuivis ne concernent pas un “acte de résistance politique”mais beaucoup« infractions de droit commun ».
Un homme déjà connu de la justice
Vendredi après-midi, il est entré dans la section consulaire de l’ambassade iranienne, vêtu d’un gilet avec de faux explosifs. L’intervention des négociateurs de la Brigade d’intervention rapide (BRI) a finalement permis l’arrestation du sexagénaire, qui a lui-même quitté l’immeuble sans son gilet.
En octobre, le prévenu avait déjà été condamné par le tribunal correctionnel de Paris pour avoir incendié des pneus devant le portail de l’ambassade d’Iran, au même endroit. Pour ces faits, il a été condamné à huit mois de prison avec sursis et a fait appel. Son nouveau procès, initialement prévu ce lundi devant la cour d’appel, a été reporté au 24 juin.
A la barre, l’accusé de 61 ans a expliqué lundi qu’il n’avait voulu “menacer personne”, mais avait voulu “se venger” des autorités iraniennes, “terroristes” à ses yeux.
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Un homme d’origine iranienne entré vendredi dans le consulat iranien à Paris avec de fausses grenades pour “vengeance” du gouvernement de Téhéran a été condamné lundi 22 avril à 10 mois de prison avec sursis. Le prévenu, âgé de 61 ans et résidant en France depuis de nombreuses années, a également été condamné par le tribunal correctionnel à une obligation de soins, à une interdiction de port d’arme et à une interdiction de se présenter au consulat, ainsi que dans le 16e arrondissement. de Paris où se sont déroulés les événements.
A la barre, il a expliqué qu’il n’avait pas voulu “menacer qui que ce soit”mais j’avais souhaité “Se venger” Les autorités iraniennes, “les terroristes” à ses yeux. Le prévenu, qui parle un français correct mais souffre de problèmes d’audition, comparait pour “menaces de mort” et “violences préméditées”. Pour le représentant du parquet, les faits poursuivis ne concernent pas un “acte de résistance politique”mais beaucoup« infractions de droit commun ».
Un homme déjà connu de la justice
Vendredi après-midi, il est entré dans la section consulaire de l’ambassade iranienne, vêtu d’un gilet avec de faux explosifs. L’intervention des négociateurs de la Brigade d’intervention rapide (BRI) a finalement permis l’arrestation du sexagénaire, qui a lui-même quitté l’immeuble sans son gilet.
En octobre, le prévenu avait déjà été condamné par le tribunal correctionnel de Paris pour avoir incendié des pneus devant le portail de l’ambassade d’Iran, au même endroit. Pour ces faits, il a été condamné à huit mois de prison avec sursis et a fait appel. Son nouveau procès, initialement prévu ce lundi devant la cour d’appel, a été reporté au 24 juin.