La cyberattaque a débuté mardi matin. Les autorités ont été invitées à enquêter et à découvrir d’où il provenait.
Publié
Temps de lecture : 1 min
Le centre hospitalier Simone Veil de Cannes (Alpes-Maritimes) est touché par une cyberattaque depuis mardi 16 avril, poussant l’hôpital à reporter de nombreuses opérations chirurgicales non urgentes, rapporte France Bleu Azur.
Dans un communiqué, le centre hospitalier explique que la cyberattaque a débuté mardi matin. Une cellule de crise a été mise en place avec des informaticiens et l’Agence nationale de la sécurité des systèmes d’information (Anssi) pour limiter les dégâts. Dans l’état actuel des choses, les urgences hospitalières peuvent continuer à être assurées mais les opérations chirurgicales non urgentes seront reportées de quelques jours.
L’administration hospitalière, quant à elle, fonctionne en « mode dégradé », poursuit l’hôpital. Cela signifie que le parcours de santé du patient n’est plus informatisé mais écrit sur papier. « Il faut tout vérifier », explique le communiqué de l’hôpital. La justice a été invitée à enquêter et à déterminer l’origine de cette cyberattaque.
La cyberattaque a débuté mardi matin. Les autorités ont été invitées à enquêter et à découvrir d’où il provenait.
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Le centre hospitalier Simone Veil de Cannes (Alpes-Maritimes) est touché par une cyberattaque depuis mardi 16 avril, poussant l’hôpital à reporter de nombreuses opérations chirurgicales non urgentes, rapporte France Bleu Azur.
Dans un communiqué, le centre hospitalier explique que la cyberattaque a débuté mardi matin. Une cellule de crise a été mise en place avec des informaticiens et l’Agence nationale de la sécurité des systèmes d’information (Anssi) pour limiter les dégâts. Dans l’état actuel des choses, les urgences hospitalières peuvent continuer à être assurées mais les opérations chirurgicales non urgentes seront reportées de quelques jours.
L’administration hospitalière, quant à elle, fonctionne en « mode dégradé », poursuit l’hôpital. Cela signifie que le parcours de santé du patient n’est plus informatisé mais écrit sur papier. « Il faut tout vérifier », explique le communiqué de l’hôpital. La justice a été invitée à enquêter et à déterminer l’origine de cette cyberattaque.