Le changement de nom peut paraître anodin. Le 5 avril, le commandant en chef de l’armée indonésienne a officialisé le changement de nom des groupes de résistance armée papous en Organisation pour la Papouasie Libre (OPM), un ancien nom abandonné en 1963. Entre-temps, Jakarta a utilisé à son tour le nom d’Organisation pour la Papouasie Libre. les étiquettes de « Groupe terroriste séparatiste », de « Groupe criminel armé » – voire de « Bande de vandales contre l’ordre », en 1974.
Mais derrière ce remplacement de termes en apparence purement formel, Tempo du Coran souligne que«Cela coïncide avec l’escalade croissante du conflit en Papouasie». En effet, la Commission indonésienne des droits de l’homme a recensé, depuis mars, au moins douze affrontements violents dans cette région, qui ont tué cinq membres des forces de sécurité et trois civils.
L’incident qui a le plus ému la population locale a été la mort d’un enfant, le 8 avril, tué chez lui pendant son sommeil par une balle perdue lors d’une fusillade entre soldats indonésiens et rebelles armés. Papous.
Premiers combattants
Là BBC News Indonésie » a demandé Sebby Sambon, porte-parole de l’Armée de libération nationale de Papouasie occidentale (TPNPB), le nom que se donnent les rebelles armés papous. Selon lui, les coupables sont à rechercher du côté des forces
Le changement de nom peut paraître anodin. Le 5 avril, le commandant en chef de l’armée indonésienne a officialisé le changement de nom des groupes de résistance armée papous en Organisation pour la Papouasie Libre (OPM), un ancien nom abandonné en 1963. Entre-temps, Jakarta a utilisé à son tour le nom d’Organisation pour la Papouasie Libre. les étiquettes de « Groupe terroriste séparatiste », de « Groupe criminel armé » – voire de « Bande de vandales contre l’ordre », en 1974.
Mais derrière ce remplacement de termes en apparence purement formel, Tempo du Coran souligne que«Cela coïncide avec l’escalade croissante du conflit en Papouasie». En effet, la Commission indonésienne des droits de l’homme a recensé, depuis mars, au moins douze affrontements violents dans cette région, qui ont tué cinq membres des forces de sécurité et trois civils.
L’incident qui a le plus ému la population locale a été la mort d’un enfant, le 8 avril, tué chez lui pendant son sommeil par une balle perdue lors d’une fusillade entre soldats indonésiens et rebelles armés. Papous.
Premiers combattants
Là BBC News Indonésie » a demandé Sebby Sambon, porte-parole de l’Armée de libération nationale de Papouasie occidentale (TPNPB), le nom que se donnent les rebelles armés papous. Selon lui, les coupables sont à rechercher du côté des forces