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Durée de la vidéo : 2 minutes
Après l’attentat mortel contre Philippe, 22 ans, dans la nuit du lundi 15 avril au mardi 16 avril, la commune de Grande-Synthe (Nord) est sous tension. Des renforts de police ont été envoyés après l’agression d’un adolescent.
Depuis qu’un adolescent de 15 ans a été agressé dans la nuit du vendredi 19 au samedi 20 avril à Grande-Synthe (Nord), sa mère dit ne plus se sentir en sécurité. Elle affirme faire l’objet de menaces et d’insultes constantes. “Ce n’est plus possible pour moi. Quand je suis sorti, ils m’ont dit ‘on va te tuer, grosse pute'”, raconte-t-elle. Le fils de cet habitant est le cousin d’un des mineurs soupçonné d’être responsable de la mort de Philippe Coopman, tué mardi 16 avril à Grande-Synthe.
Le système de sécurité renforcé
Quatre jours après la mort de Philippe, le cousin du suspect a été retrouvé au sol, nu et le visage tuméfié. La préfecture a renforcé le dispositif de sécurité et déployé des patrouilles de police pour rassurer les habitants. Par ailleurs, le maire de Grande-Synthe appelle au calme. La mère de l’adolescent agressé affirme avoir arrêté de travailler et a demandé au maire de déménager.
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Après l’attentat mortel contre Philippe, 22 ans, dans la nuit du lundi 15 avril au mardi 16 avril, la commune de Grande-Synthe (Nord) est sous tension. Des renforts de police ont été envoyés après l’agression d’un adolescent.
Depuis qu’un adolescent de 15 ans a été agressé dans la nuit du vendredi 19 au samedi 20 avril à Grande-Synthe (Nord), sa mère dit ne plus se sentir en sécurité. Elle affirme faire l’objet de menaces et d’insultes constantes. “Ce n’est plus possible pour moi. Quand je suis sorti, ils m’ont dit ‘on va te tuer, grosse pute'”, raconte-t-elle. Le fils de cet habitant est le cousin d’un des mineurs soupçonné d’être responsable de la mort de Philippe Coopman, tué mardi 16 avril à Grande-Synthe.
Le système de sécurité renforcé
Quatre jours après la mort de Philippe, le cousin du suspect a été retrouvé au sol, nu et le visage tuméfié. La préfecture a renforcé le dispositif de sécurité et déployé des patrouilles de police pour rassurer les habitants. Par ailleurs, le maire de Grande-Synthe appelle au calme. La mère de l’adolescent agressé affirme avoir arrêté de travailler et a demandé au maire de déménager.