La performeuse franco-luxembourgeoise Deborah de Robertis a affirmé être à l’origine d’une action début mai au centre Pompidou-Metz. Cinq œuvres avaient été taguées, tandis qu’une autre avait été volée.
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Temps de lecture : 1 min
La performeuse franco-luxembourgeoise Deborah de Robertis, qui affirmait être à l’origine d’une action début mai au centre Pompidou-Metz – contrecinq œuvres, dont le tableau de Courbet « L’Origine du monde », ont été taguées et une autre volée – a été mis en examen, a annoncé le parquet de Metz.
L’artiste « a été inculpé le 29 mai », a déclaré le procureur de la République Yves Badorc à l’AFP, confirmant une information du journal. Le monde. Elle a été mise en examen des chefs de « dégradation ou détérioration intentionnelle de biens culturels » lors d’une réunion ainsi que de vol de biens culturels lors d’une réunion, a précisé le magistrat.
Deborah de Robertis avait notamment revendiqué auprès de l’AFP un geste de « réappropriation » une broderie d’Annette Messager, issue de la collection personnelle d’un critique d’art également commissaire de l’exposition « Lacan, quand l’art rencontre la psychanalyse ». Une œuvre de l’interprète franco-luxembourgeois était également présentée dans cette exposition.
L’artiste a été placé sous contrôle judiciaire, comprenant une interdiction de paraître dans un lieu d’exposition de biens culturels ou encore une interdiction de paraître en Moselle, selon le procureur de Metz. Deux autres femmes, nées en 1986 et 1993, qui avaient tagué « Moi aussi » les œuvres, avaient été arrêtées le 6 mai, le jour même de l’action, après avoir été traînées vers la sortie de l’exposition. Ils ont également été mis en examen et placés sous contrôle judiciaire. Il est interdit aux trois femmes d’entrer en contact les unes avec les autres.
La performeuse franco-luxembourgeoise Deborah de Robertis a affirmé être à l’origine d’une action début mai au centre Pompidou-Metz. Cinq œuvres avaient été taguées, tandis qu’une autre avait été volée.
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La performeuse franco-luxembourgeoise Deborah de Robertis, qui affirmait être à l’origine d’une action début mai au centre Pompidou-Metz – contrecinq œuvres, dont le tableau de Courbet « L’Origine du monde », ont été taguées et une autre volée – a été mis en examen, a annoncé le parquet de Metz.
L’artiste « a été inculpé le 29 mai », a déclaré le procureur de la République Yves Badorc à l’AFP, confirmant une information du journal. Le monde. Elle a été mise en examen des chefs de « dégradation ou détérioration intentionnelle de biens culturels » lors d’une réunion ainsi que de vol de biens culturels lors d’une réunion, a précisé le magistrat.
Deborah de Robertis avait notamment revendiqué auprès de l’AFP un geste de « réappropriation » une broderie d’Annette Messager, issue de la collection personnelle d’un critique d’art également commissaire de l’exposition « Lacan, quand l’art rencontre la psychanalyse ». Une œuvre de l’interprète franco-luxembourgeois était également présentée dans cette exposition.
L’artiste a été placé sous contrôle judiciaire, comprenant une interdiction de paraître dans un lieu d’exposition de biens culturels ou encore une interdiction de paraître en Moselle, selon le procureur de Metz. Deux autres femmes, nées en 1986 et 1993, qui avaient tagué « Moi aussi » les œuvres, avaient été arrêtées le 6 mai, le jour même de l’action, après avoir été traînées vers la sortie de l’exposition. Ils ont également été mis en examen et placés sous contrôle judiciaire. Il est interdit aux trois femmes d’entrer en contact les unes avec les autres.