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Durée de la vidéo : 2 minutes
A la veille de l’arrivée de Belem, qui porte la flamme olympique, à Marseille, dans les Bouches-du-Rhône, la ville est en plein préparatifs.
La flamme olympique doit arriver à Marseille (Bouches-du-Rhône), mercredi 8 mai. A la veille de cet événement historique, le soleil est au rendez-vous. Belem doit arriver mercredi, donnant officiellement le coup d’envoi des JO de Paris. Sur le Vieux-Port, avant l’arrivée de la célèbre lanterne, des vivres sont déchargés des camions. Un restaurateur est prêt à accueillir du public et projette largement.
“Ça va être très émouvant”
« Avec 150 000 personnes arrivant au port demain, on a forcément doublé, triplé, voire quadruplé certaines quantités », indique Malko Lora-Runco, gérante de la brasserie Arbre bleu. Les bateaux qui auront la chance d’escorter le Belem se préparent également. Un marin expérimenté, installé à Marseille depuis 50 ans, voit cette navigation comme un accomplissement. “Ça va être très émouvantt, je crois, pouvoir rencontrer la flamme”confie Guillaume Wattinne, propriétaire de Svanevit.
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A la veille de l’arrivée de Belem, qui porte la flamme olympique, à Marseille, dans les Bouches-du-Rhône, la ville est en plein préparatifs.
La flamme olympique doit arriver à Marseille (Bouches-du-Rhône), mercredi 8 mai. A la veille de cet événement historique, le soleil est au rendez-vous. Belem doit arriver mercredi, donnant officiellement le coup d’envoi des JO de Paris. Sur le Vieux-Port, avant l’arrivée de la célèbre lanterne, des vivres sont déchargés des camions. Un restaurateur est prêt à accueillir du public et projette largement.
“Ça va être très émouvant”
« Avec 150 000 personnes arrivant au port demain, on a forcément doublé, triplé, voire quadruplé certaines quantités », indique Malko Lora-Runco, gérante de la brasserie Arbre bleu. Les bateaux qui auront la chance d’escorter le Belem se préparent également. Un marin expérimenté, installé à Marseille depuis 50 ans, voit cette navigation comme un accomplissement. “Ça va être très émouvantt, je crois, pouvoir rencontrer la flamme”confie Guillaume Wattinne, propriétaire de Svanevit.