La préfecture du Nord a interdit la nouvelle conférence de La France insoumise sur la Palestine, qui avait été délocalisée.
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Temps de lecture : 1 min
“C’est en cours, mes avocats et les avocats de La France insoumise y travaillent”a déclaré jeudi 18 avril sur franceinfo la militante franco-palestinienne Rima Hassan et candidate LFI aux élections européennes, après l’interdiction par la préfecture du Nord d’une conférence de Jean-Luc Mélenchon et Rima Hassan sur la Palestine à Lille, la préfecture évoquant un risque de « trouble à l’ordre public ».
Rima Hassan dénoncée “les pressions” subi par l’Université de Lille, qui a également annulé cette conférence mercredi. “La présidence de l’Université de Lille a pointé ces pressions dans son communiqué et dit regretter d’avoir subi cette pression politique”.
Selon le militant, le sujet du Moyen-Orient est « éminemment politique » : « Ce que je souligne, c’est la paresse intellectuelle. Mes propos sont systématiquement caricaturaux. Je souffre de ça depuis plusieurs mois. »elle regrette. “Même si je fais un métier qui consiste à sourcer mes positions, en me référant aux positions des Nations Unies, je suis systématiquement caricaturé pour être disqualifié.”
“Il est important de rester courageux sur ce sujet et de dénoncer ce qu’il y a à dénoncer, à savoir un génocide”Elle a fini.
La préfecture du Nord a interdit la nouvelle conférence de La France insoumise sur la Palestine, qui avait été délocalisée.
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“C’est en cours, mes avocats et les avocats de La France insoumise y travaillent”a déclaré jeudi 18 avril sur franceinfo la militante franco-palestinienne Rima Hassan et candidate LFI aux élections européennes, après l’interdiction par la préfecture du Nord d’une conférence de Jean-Luc Mélenchon et Rima Hassan sur la Palestine à Lille, la préfecture évoquant un risque de « trouble à l’ordre public ».
Rima Hassan dénoncée “les pressions” subi par l’Université de Lille, qui a également annulé cette conférence mercredi. “La présidence de l’Université de Lille a pointé ces pressions dans son communiqué et dit regretter d’avoir subi cette pression politique”.
Selon le militant, le sujet du Moyen-Orient est « éminemment politique » : « Ce que je souligne, c’est la paresse intellectuelle. Mes propos sont systématiquement caricaturaux. Je souffre de ça depuis plusieurs mois. »elle regrette. “Même si je fais un métier qui consiste à sourcer mes positions, en me référant aux positions des Nations Unies, je suis systématiquement caricaturé pour être disqualifié.”
“Il est important de rester courageux sur ce sujet et de dénoncer ce qu’il y a à dénoncer, à savoir un génocide”Elle a fini.