Nommé à Matignon il y a deux semaines, le Premier ministre devance trois de ses prédécesseurs dans l’étude Ifop-Fiducial pour Paris Match et Sud Radio publiée mardi.
Sommes-nous au milieu de “Barniermanie» A peine nommé à Matignon, le Premier ministre a pris mardi la tête du baromètre mensuel des personnalités politiques Ifop-Fiducial pour Paris Match-Sud Radio, avec 57% d’opinions positives. Un niveau inédit pour un chef de gouvernement arrivé si récemment. Si le Savoyard sait, selon Frédéric Dabi, directeur général de l’institut de sondage, « Un « effet nomination » n’est pas forcément un état de grâce, compte tenu de la situation politique. » « Mais il y a une réelle indulgence, voire un courant de sympathie. »le spécialiste continue au magazine. Michel Barnier est « élevé dans presque toutes les catégories de population. »
Sur le plan politique, il s’attire les faveurs des sympathisants de droite et même du Rassemblement national. Largement soutenu par le bloc central, et apprécié des socialistes et des communistes, Michel Barnier est rejeté par les électeurs insoumis et écologistes. Une bonne volonté majoritaire qui pourrait s’effriter à l’annonce de la composition du gouvernement.
Devant ses prédécesseurs
Alors qu’il fait face à une équation politique inextricable, sans majorité claire à l’Assemblée nationale, le Premier ministre devance trois de ses prédécesseurs : Édouard Philippe (55 %), Gabriel Attal (54 %) et Jean Castex (54 %). Autre ancien locataire de Matignon, Bernard Cazeneuve, un temps pressenti pour revenir à la tête du gouvernement, recueille 48 % d’opinions positives. Tout comme la ministre de la Culture démissionnaire Rachida Dati, ou l’ancien président François Hollande.
Nommé à Matignon il y a deux semaines, le Premier ministre devance trois de ses prédécesseurs dans l’étude Ifop-Fiducial pour Paris Match et Sud Radio publiée mardi.
Sommes-nous au milieu de “Barniermanie» A peine nommé à Matignon, le Premier ministre a pris mardi la tête du baromètre mensuel des personnalités politiques Ifop-Fiducial pour Paris Match-Sud Radio, avec 57% d’opinions positives. Un niveau inédit pour un chef de gouvernement arrivé si récemment. Si le Savoyard sait, selon Frédéric Dabi, directeur général de l’institut de sondage, « Un « effet nomination » n’est pas forcément un état de grâce, compte tenu de la situation politique. » « Mais il y a une réelle indulgence, voire un courant de sympathie. »le spécialiste continue au magazine. Michel Barnier est « élevé dans presque toutes les catégories de population. »
Sur le plan politique, il s’attire les faveurs des sympathisants de droite et même du Rassemblement national. Largement soutenu par le bloc central, et apprécié des socialistes et des communistes, Michel Barnier est rejeté par les électeurs insoumis et écologistes. Une bonne volonté majoritaire qui pourrait s’effriter à l’annonce de la composition du gouvernement.
Devant ses prédécesseurs
Alors qu’il fait face à une équation politique inextricable, sans majorité claire à l’Assemblée nationale, le Premier ministre devance trois de ses prédécesseurs : Édouard Philippe (55 %), Gabriel Attal (54 %) et Jean Castex (54 %). Autre ancien locataire de Matignon, Bernard Cazeneuve, un temps pressenti pour revenir à la tête du gouvernement, recueille 48 % d’opinions positives. Tout comme la ministre de la Culture démissionnaire Rachida Dati, ou l’ancien président François Hollande.