Tout juste nommé à Matignon, où il a promis « changements et ruptures »Le nouveau Premier ministre, Michel Barnier, doit désormais s’atteler à la formation d’un gouvernement capable de démontrer sa capacité à s’unir et à s’émanciper d’Emmanuel Macron. “au travail”.
Le cliché qui conclut tous les discours sur la passation de pouvoir avait des allures de défi pour Michel Barnier, jeudi dans la cour de Matignon. Chargé par le président de la République de « former un gouvernement unificateur au service du pays »Le Savoyard de 73 ans sait déjà qu’il est en sursis et devra trouver les bons équilibres pour éviter de tomber à la première motion de censure.
Sans attendre, il a multiplié les coups de fil avant même sa prise de fonction, selon son entourage : Edouard Philippe, François Bayrou, Laurent Wauquiez, mais aussi Nicolas Sarkozy, ainsi que la présidente de l’Assemblée nationale, Yaël Braun-Pivet, et celle du Sénat, Gérard Larcher. Vendredi matin, il recevra à 9 heures son prédécesseur, Gabriel Attal, président du groupe macroniste Ensemble pour la République, à l’Assemblée, puis, à 10h15, les dirigeants de son propre parti, Les Républicains, pour examiner les conditions de participation à sa future équipe.
Tout juste nommé à Matignon, où il a promis « changements et ruptures »Le nouveau Premier ministre, Michel Barnier, doit désormais s’atteler à la formation d’un gouvernement capable de démontrer sa capacité à s’unir et à s’émanciper d’Emmanuel Macron. “au travail”.
Le cliché qui conclut tous les discours sur la passation de pouvoir avait des allures de défi pour Michel Barnier, jeudi dans la cour de Matignon. Chargé par le président de la République de « former un gouvernement unificateur au service du pays »Le Savoyard de 73 ans sait déjà qu’il est en sursis et devra trouver les bons équilibres pour éviter de tomber à la première motion de censure.
Sans attendre, il a multiplié les coups de fil avant même sa prise de fonction, selon son entourage : Edouard Philippe, François Bayrou, Laurent Wauquiez, mais aussi Nicolas Sarkozy, ainsi que la présidente de l’Assemblée nationale, Yaël Braun-Pivet, et celle du Sénat, Gérard Larcher. Vendredi matin, il recevra à 9 heures son prédécesseur, Gabriel Attal, président du groupe macroniste Ensemble pour la République, à l’Assemblée, puis, à 10h15, les dirigeants de son propre parti, Les Républicains, pour examiner les conditions de participation à sa future équipe.